Roselyne Bachelot et Jean Castex face à une tentation : « Ça aurait été drôle, mais non »

Ce mercredi 19 mai, Roselyne Bachelot et Jean Castex ont prévu d’aller voir un film pour célébrer la réouverture des salles de cinéma. Un membre de leur entourage s’est d’ailleurs amusé de la situation auprès du Parisien.

A propos de


  1. Roselyne Bachelot


  2. Jean Castex


  3. Gabriel Attal

Pour la réouverture des terrasses de cafés, restaurants, des lieux culturels et des commerces, ce mercredi 19 mai, plusieurs membres du gouvernement ont une mission. Alors que Bruno Le Maire a pris son petit déjeuner dans un bistrot du VIe arrondissement de Paris, Roselyne Bachelot et Jean Castex ont prévu d’aller au cinéma, en fin de journée. Comme l’annonce Le Parisien, après un passage au Sénat, ils iront voir un film franco-belge intitulé Slalom, qui a été sélectionné au Festival de Cannes 2020.

Le Premier ministre et la représentante du milieu de la Culture ont donc décidé de ne pas voir la comédie dramatique Adieu les cons, réalisée par Albert Dupontel et initialement sortie en salles en octobre dernier. Un membre de leur entourage a d’ailleurs lancé, avec ironie, amusé par les moqueries que la situation aurait entraînées : « Ça aurait été drôle, mais non. » De son côté, Marlène Schiappa va visiter le musée du Quai Branly-Jacques Chirac et Emmanuel Macron se rendra au Stade de France pour le match de football durant lequel l’équipe de Monaco affrontera celle du PSG. Autant de déplacements prévus pour mettre en avant le déconfinement progressif. Gabriel Attal a d’ailleurs donné quelques explications sur toute cette organisation. « Il ne faut pas se priver de montrer qu’on est contents d’entrer dans cette phase-là. C’est forcément un moment de libération pour tous les Français », a assuré le porte-parole du gouvernement, comme l’indiquent nos confrères.

« On reste sur nos gardes »

De son côté, Jean Castex a pour mots d’ordre « optimisme et prudence », afin de rappeler à la population que la crise sanitaire est loin d’être terminée. « On reste sur nos gardes. Et en plus, maintenant, on a les variants. Donc, sans mauvais jeu de mots, on est vaccinés contre le triomphalisme et l’excès de confiance. Plus personne ne peut se dire aujourd’hui que c’est fini, contrairement à l’été dernier où tout le monde le pensait », a ajouté Gabriel Attal.

Article écrit avec la collaboration de 6Medias

Crédits photos : Jacques Witt/Pool/Bestimage

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