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Rachida Dati excédée : sa gouvernante cambriolée, les clés de chez elle dérobées
Mauvaise nouvelle pour Rachida Dati : la maire du VIIe arrondissement de Paris s’est fait voler ses clés au domicile de son employée de maison, dans l’après-midi de ce samedi 8 mai.
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Rachida Dati
Les malfrats ont-ils visé cet appartement en toute connaissance de cause ? Ce samedi, dans l’après-midi, le domicile de la gouvernante de Rachida Dati a été visité par des cambrioleurs, rapporte Le Parisien, ce dimanche 9 mai. Absente au moment des faits, entre 16h30 et 19h45, l’employée de maison de la maire du XIIe arrondissement de Paris a constaté le larcin à son retour. Au menu du butin : des bijoux, un ordinateur portable et un sac à main, qui contenait donc les clés de l’appartement de Rachida Dati, qu’elle occupe avec sa petite fille Zohra.
Plus de peur que de mal, le domicile de Rachida Dati ne semble pas avoir été cambriolé par les malfaiteurs. D’autant qu’aucune indication sur le trousseau ou dans le sac à main ne permettait de lier les clés à l’appartement de l’ancienne garde des Sceaux, très critique vis-à-vis de l’insécurité et de la délinquance à Paris. Si la cheffe de l’opposition parisienne n’a pas eu directement de mésaventure chez elle, plusieurs personnes publiques et politiques ont été victimes d’infractions à leur domicile, provoquées par des cambrioleurs parfois violents, ces dernières années.
Le traumatisme de Bernard Tapie, attaqué à son domicile
En juillet 2019, l’ancien ministre Thierry Breton a fait les frais d’une violente séquestration, dans son appartement du XIVe arrondissement de Paris, alors qu’il dormait avec son épouse. Les deux hommes armés ont frappé le couple au visage avec de les enfermer dans les toilettes, pour ensuite s’échapper avec plus de 40 000 euros d’euros de bijoux et d’argent liquide.
Plus récemment, une autre affaire très choquante a provoqué une onde de choc en France. Diminué par un cancer, Bernard Tapie a été victime d’une brutale agression à son domicile de Combs-la-Ville, en avril dernier. L’ancien ministre de la Ville a été frappé puis ligoté avec son épouse par quatre hommes cagoulés, qui se sont ensuite enfuis avec des montres, des bijoux et des téléphones. « On était à abattre », a affirmé l’ex-patron de l’Olympique de Marseille, dans une interview au 20 heures de TF1.
Article écrit avec la collaboration de 6Medias.
Crédits photos : Stephane Lemouton / Bestimage
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