Prince Harry : infidèle !

Trop c’est trop ! Face au tribunal à Londres, le prince a fini par craquer en avouant ses fautes après avoir déversé sa haine sur le gouvernement…

Harry est-il légitime pour critiquer le gouvernement britannique sachant qu’il a préféré s’exiler en Californie ? L’électron libre de la monarchie ne s’est visiblement pas encombré de cette question et il ne s’est pas privé de déverser son fiel. Brisant au passage la neutralité politique voulue par Buckingham.

« Notre pays est jugé dans le monde entier par l’état de notre presse et de notre gouvernement, qui, à mon avis, sont tous deux au plus bas », s’est permis de déclarer le fils du roi Charles III devant la Haute Cour de Londres, où se tient son procès contre un tabloïd. Loin de se démonter, il a en outre estimé que « la démocratie échoue lorsque la presse ne demande pas des comptes au gouvernement, mais choisit plutôt de s’allier à lui pour garantir le statu quo ». Ces déclarations ont certainement dû faire s’étrangler en haut lieu. Même si plus personne ne s’étonne des sorties du frère de William.

“On commence à être habitué à ce grand déballage”

« On commence à être habitué à ce grand déballage », souffle, dépité, un expert des têtes couronnées. Si Harry est devant le tribunal, c’est pour se plaindre du traitement intrusif qu’il estime avoir subi de la part d’une certaine presse. Sa vie privée a, selon lui, été jetée en pâture depuis sa naissance. Et il soupçonne même d’avoir été victime d’un piratage de sa messagerie téléphonique. Ce qui prête à sourire dans ce procès, c’est que le fils de Diana a organisé sa défense en s’exprimant… sur sa vie privée !

“J’ai pris des décisions stupides”

Dévoilant par exemple devant les juges avoir été infidèle avec Chelsy Davy, sa première petite amie. « J’ai été immature. Je ne réfléchissais pas vraiment à mes actes et j’ai pris des décisions stupides. Puis mes erreurs ont été mises sur la place publique et cette intrusion des médias a conduit Chelsy à décider qu’elle n’était pas faite pour une vie royale. Notre rupture a été terriblement perturbante à l’époque », a-t-il pleurniché. Ajoutant : « En y repensant aujourd’hui, un tel comportement de leur part est tout à fait ignoble.

Combien de sang va encore tacher leurs doigts avant que quelqu’un ne mette un terme à cette folie ? » Les tabloïds ont sans doute une part de responsabilité dans les pétages de plombs passés du prince.

Mais c’est seul comme un grand qu’il a choisi de balancer sur les Windsor dans un documentaire explosif produit par Netflix, et de régler ses comptes avec son frère et sa belle-mère dans son autobiographie impudique.

« Harry et Meghan savent très bien utiliser la presse et monnayer leurs projets, reprend notre source. Ils ont aussi l’habitude de faire fuiter des infos, quand cela les arrange. » La dernière en date remonte au 4 juin, pour les 2 ans de leur fille Lilibet. Juste avant de prendre son vol pour Londres, un prétendu proche de Harry a fait savoir que ce dernier comptait refuser le cadeau d’anniversaire adressé par Charles III. Le roi aurait soi-disant vu trop grand en voulant faire fabriquer une maison de poupées XXL. « La même que celle qu’avaient la reine Elizabeth et la princesse Margaret quand elles étaient petites filles », lit-on dans la presse US. Une excuse qui ressemble plutôt à une énième provocation de la part de Harry.

ILARIO ELTEGE

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