Pierre Palmade en liberté mais très entouré : ces deux gardes du corps qui le suivent partout

Ce jeudi 29 juin, le magazine Paris Match s’est épanché sur les dernières sorties de Pierre Palmade. Selon leurs informations, depuis qu’il est en liberté, l’humoriste de 55 ans s’accompagne de deux gardes du corps pour assurer sa sécurité.

Depuis le terrible accident qu’il a causé en février dernier, Pierre Palmade a d’abord été interné à Paris puis transféré au CHU de Bordeaux. Il a, par ailleurs, depuis son transfert l’interdiction de quitter la Nouvelle Aquitaine. S’il a réussi à vendre sa maison parisienne, il a également pu récemment s’octroyer quelques petites sorties. Notamment en boîte de nuit où il a été, non seulement, aperçu par les caméras de surveillance ainsi que par plusieurs clients. Mais s’y est-il rendu seul ?

Ce jeudi 29 juin, la rédaction Paris Match s’est intéressée à cette fameuse sortie de l’humoriste. Selon les informations dévoilées, le 24 juin dernier, lorsqu’il s’est rendu à l’Ultra Klubs, « le comédien y est arrivé vers 3 heures du matin et est resté deux heures, le temps de boire deux rhums-Coca et de discuter avec des clients« . Pourtant, il n’était pas seul ce soir-là. « Désormais, il se fait accompagner de deux gardes du corps assurant sa sécurité, qu’il payerait lui-même« , peut-on découvrir ensuite. Une précaution nécessaire compte tenu de la forte médiatisation de cette affaire…

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Pierre Palmade régulièrement insulté dans la rue ?

Si Pierre Palmade est désormais « en liberté« , il est cependant toujours suivi. Comme l’a précisé le magazine, il doit « se soumettre à des soins et des contrôles réguliers, afin de poursuivre sa cure de désintoxication censée l’aider à se sortir de ses addictions à la cocaïne et à la 3-MMC« . Et lors de ses déplacements, il serait donc accompagné de ses deux gardes du corps.

Pour cause, lorsqu’il est dans la rue, il est souvent confronté aux nombreux regards des habitants. « Il lui faut affronter le regard dur de certains dans la rue, ne pas baisser la tête quand on l’insulte« , précise le magazine. Mais même avec l’aide de sa sécurité, lorsqu’il sort, il est quand même insulté de « criminel » et de « malade » par certains passants qui croisent son chemin.

Crédits photos : Tiziano Da Silva – Cyril Moreau / Bestimage

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Dans le magazine ELLE en 2009, François Cluzet a raconté son alcoolisme qu’il a vaincu après une cure de désintoxication : « On fait un métier très mondain. Où que vous alliez, on vous propose un verre. Dans certains festivals, dès dix heures du matin, un plateau avec des flûtes de champagne surgit. Sur un tournage, il y a toujours quelque chose à fêter. Il y a le pot de la déco, le pot du départ, le pot de la fin de journée… » Par la suite, « j’ai fait une cure de désintoxication dans une clinique. » Depuis, cette mauvaise période fait partie du passé.

Ce vendredi 10 février, Pierre Palmade a été victime d’un accident de la route, à proximité de Villiers-en-Bière (Seine-et-Marne), aux abords de la forêt de Fontainebleau. L’enquête et les analyses toxicologiques ont démontré que le comédien, qui a percuté un autre véhicule et qui a blessé plusieurs personnes, était positif à la cocaïne et aux médicaments de substitution. Des démons contre lesquels il luttait depuis plusieurs années maintenant. En témoignent les nombreuses prises de parole de ses amies et personnalités, qui avaient partagé leurs craintes quant aux addictions du comédien. C’est notamment le cas de Muriel Robin, qui avait mis en garde l’acteur de 54 ans. « Muriel Robin m’engueulait parce que j’annulais parfois les séances d’écriture, après une nuit trop arrosée », avait confié Pierre Palmade au Point, en 2019.
Dans C à vous la même année, l’humoriste s’était confié sur cette addiction tenace et sur ses effets dans sa vie, personnelle et professionnelle. “La dépendance à la cocaïne est très sournoise (…). C’est la drogue la plus sournoise que je connaisse”, avait-il assuré sur France 5. “Je ne savais pas à 20 ans que c’était une maladie, je pensais que c’était un divertissement. J’ai subodoré à 30 ans que c’était un poison, à 40 ans, j’étais sûr que j’étais cocaïnomane et que j’allais dans le mur”, avait-il aussi raconté dans On n’est pas couché en 2019.

Francis Perrin est revenu sur sa guérison de l’alcoolisme dans La Boîte à secrets. “Il y a des moments dans la vie qui sont des drames, qui arrivent, et on croit que l’on peut soigner cela par l’alcool, a confié Francis Perrin pour l’occasion. Et donc j’ai été alcoolique. On croit que c’est un médicament, que ça soigne, alors que c’est un poison.” Grâce à sa femme et ses amis, il a mené son combat vers le sevrage.

Depuis plus de trente ans, Bernard Campan partage sa vie avec Anne. Le couple a traversé des épreuves, dont la dépendance à l’alcool de sa femme. Une addiction que la mère de famille est parvenue à combattre. « Quand Anne est sortie de l’alcoolisme, de son addiction, elle a réussi ça grâce aux Alcooliques anonymes. Et pour moi, ça a été l’occasion de les découvrir. C’est vraiment quelque chose qui m’a beaucoup marqué. Finalement, c’est une forme de spiritualité« , avait-il affirmé. Il a ensuite évoqué cette lutte dans son film La Face cachée, réalisé en 2007.

Thierry Ardisson est tombé dans les addictions durant sa jeunesse, au tout début des années 70. Très vite, il découvre le monde de la nuit, là où alcool et drogue rythment les soirées. “Nous, on s’est jeté dedans la tête la première”, a-t-il avoué. Finalement, il a décidé de se sevrer lui-même de la drogue :Je m’en suis sorti, mais c’est ce que j’ai fait de plus dur dans ma vie honnêtement. L’héro, au début, on en prend pour être bien, puis au bout d’un moment, on en prend pour ne pas être mal…”

Dans les années 1980, Louis Bertignac est au sommet. Il cède à la tentation de la drogue. Sa consommation augmente à vue d’oeil. “La drogue était assez inévitable quand on était dans le rock à cette époque-là. Tous les gens qui gravitaient autour de nous nous proposaient des substances. On avait du mal à refuser, surtout moi”, a-t-il confié dans l’émission En Aparté diffusée sur Canal+. Jusqu’au jour où il apprend qu’il a une hépatite C.

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