PHOTO Renaud : sa fille Lolita, taxée de racisme, se défend après un commentaire sur des masques fabriqués en Chine

Lolita Séchan a poussé un coup de gueule. Au coeur d’une polémique, la fille de Renaud s’est défendue d’être raciste après une publication qui a choqué une partie de ses abonnés.

Lolita Séchan

Renaud

Une simple déclaration peut vite mettre le feu aux poudres sur les réseaux sociaux. Lolita Séchan, la fille de Renaud, vient d’en faire les frais. Ce vendredi 28 mai, elle a fait part à ses fans de son dernier achat : des masques de protection pour enfants. Sauf qu’elle s’est agacée de voir que ceux-ci avaient été fabriqués en Chine. « C’est si dur que ça d’en fabriquer en France ? Et ben, c’est pas gagné« , a-t-elle écrit en légende. Une remarque qui lui a valu de nombreuses critiques, puisqu’elle a révélé quelques heures plus tard avoir été taxée de racisme par certains de ses abonnés. « Ai-je écrit que tout ce qui venait de Chine était de la merde« , a-t-elle commenté en se disant « sidérée » par cette polémique. Elle, qui avoue être partagée entre se défendre et « laisser pisser », a expliqué dans la suite de ses messages que son coup de gueule était surtout écologique. Loin d’avoir un problème avec les fabrications chinoises, elle déplore que la France n’investisse pas davantage dans les circuits courts.

Lolita Séchan s’agace des critiques

Agacer de se voir prêter de mauvaises intentions, Lolita Séchan explique dans sa story Instagram : « Je croyais parler d’écologie en fait. De production locale. De logique de circuit court. Concernant à un produit qui était en pénurie à un moment où il était essentiel. Est-ce raciste de trouver absurde de faire venir du bout du monde un truc que nous pouvons fabriquer ici car il y a urgence ?« 

L’ex de Renan Luce explique ensuite que des soignants lui auraient récemment expliqué qu’ils ne pouvaient pas changer les draps d’un proche hospitalisé car la commande venue de Chine n’était pas encore arrivée. Le tout alors qu’ils étaient en « Plan blanc, s’apprêtant à faire face à la seconde vague. » Pour Lolita Séchan il n’y a qu’une seule solution à cette pénurie : produire en local. Mais visiblement, son message n’a pas bien été compris…




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