Accueil » Célébrités »
PHOTO – Marion Bartoli comblée : ce tendre cliché de sa fille Kamilya
Depuis décembre 2020, Marion Bartoli est l’heureuse maman d’une petite fille baptisée Kamilya. Ce samedi 19 août, l’ex-joueuse de tennis a partagé un tendre cliché de l’enfant sur son compte Instagram.
Marion Bartoli est une femme comblée. L’ex-joueuse de tennis (qui a mis un terme à sa carrière en 2013, alors qu’elle participait au tournoi de Cincinnati), désormais âgée de 38 ans, s’était livrée, début juin, à des confidences particulièrement touchantes dans les colonnes de Paris-Match. La trentenaire, qui est l’heureuse maman d’une petite fille prénommée Kamilya – qui a vu le jour en décembre 2020 –, avait partagé son grand bonheur : « J’ai la chance d’avoir un mari qui adore le sport, et le tennis en particulier, donc notre fille et lui m’accompagnent à Roland-Garros. »
Régulièrement, la trentenaire partage des fragments de son quotidien sur son compte Instagram, pour le plus grand bonheur de ses followers. C’est ainsi que, ce samedi 19 août, elle a posté en story un tendre cliché de sa petite fille, capturé à Singapour. L’enfant, vêtue d’une tenue estivale (un tee-shirt à l’effigie de Minnie Mouse, un short rose et des sandales), prend la pose, le visage éclairé par un joli sourire espiègle.
>>> PHOTOS- Mallaury Nataf, Loana, Marion Bartoli… Ces stars qui ont vécu une descente aux enfers
Les fans de Marion Bartoli aux anges
Deux semaines auparavant, l’épouse du footballeur belge Yahya Boumediene – qui est aussi le papa de sa fille –, avait publié sur le même réseau social un attendrissant cliché (à retrouver ici) de la petite Kamilya. « Bonnes vacances à tous », avait écrit la mère de famille en guise de légende. Sur la photo, on pouvait voir l’enfant s’amuser sur la plage. Autour d’elle, on distinguait divers accessoires de circonstance (une pelle pour réaliser de somptueux châteaux, une bouée…). En arrière-plan se dessinait un paysage idyllique : le ciel bleu et la mer, sur laquelle flottaient de nombreux bateaux.
Cette publication avait beaucoup plu aux abonnés de Marion Bartoli – qui entretient une belle amitié avec un acteur mondialement connu –, qui avaient été nombreux à la « liker » ou à la commenter. Parmi les messages écrits dans la section qui y est consacrée figurent les suivants : « Ho, la jolie petite fille ! », « Elle a bien grandi ! », « Petite fleur ! » ou encore « Magnifique ! »
Article écrit en collaboration avec 6Medias
Crédits photos : Chryslene Caillaud / Panoramic / Bestimage
A propos de
-
Abonnez-vous à vos stars préférées et recevez leurs actus en avant première !
-
Marion Bartoli
Suivre
Suivi
-
Yahya Boumediene
Suivre
Suivi
À découvrir en images
PHOTOS – Mallaury Nataf, Loana, Marion Bartoli… Ces stars qui ont vécu une descente aux enfers
Star du petit écran au milieu des années 90 grâce à la sitcom produite par AB Productions Le miel et les abeilles, puis par la série produite par Marathon Sous le soleil, Mallaury Nataf est malheureusement montée aussi vite qu’elle est redescendue, la faute à un tempérament et à un caractère qui l’ont rapidement blacklistée des productions qui avaient fait sa gloire. Quinze ans plus tard, à peine reconnaissable, elle annonçait vivre dans la rue et s’être fait retirer ses trois enfants (qui ont été placés et qu’elle ne voit plus aujourd’hui). Aujourd’hui, marquée par ses années de malheur et de pauvreté, Mallaury remonte doucement la pente avec l’aide de son ancien employeur qui lui a offert un rôle récurrent dans Les Mystères de l’amour, diffusé chaque samedi sur TMC.
Avant d’entrer dans le Loft en 2001, Loana connaissait déjà une vie difficile : élevée par une mère célibataire, elle avait eu un enfant très jeune et joignait les deux bouts en dansant dénudée dans des clubs la nuit. En sortant gagnante de Loft Story, première émission de téléréalité made in France, la plantureuse blonde (et son fameux buzz dans la piscine avec Jean-Edouard) avait atteint une énorme renommée, suivie par plusieurs dizaines de millions de personnes pendant des semaines rivés chaque jour à leur télé pour assister à cette « expérience » fascinante pour certains, affligeante pour d’autres. La chute n’en sera que plus brutale. Après quelques essais dans la musique, la comédie et la mode, souvent soldés d’échecs retentissants, Loana s’est lentement éteinte, le téléphone s’est arrêté de sonner et, entre problèmes de poids, opérations chirurgicales (pour tenter de retrouver sa silhouette) et penchant pour certaines addictions, elle s’est rapidement retrouvée au fond du trou. Elle se rappellera de cette période noire dans les pages de Public : « Ça a été la descente aux enfers. Il y a eu les mauvaises rencontres. On sort en soirées, on est à Paris , on nous propose quelques produits illicites, on en prend un peu, beaucoup. On se dit qu’on peut arrêter. On boit de l’alcool. On sombre royalement dans les travers de toutes les addictions possibles. La paranoïa s’installe et on rentre dans un cercle vicieux qui devient infernal. Ça, ça a duré quelques années ! J’ai voulu quitté cette vie de nombreuses fois avec de l’alcool, des médicaments, de la drogue, ça devenait un jeu avec la mort, ce qui est horrible. » Catapultée en quelques semaines au sommet de la gloire avant d’être oubliée tout aussi vite, Loana est l’exemple parfait de la star d’un système dont elle est devenue elle-même la victime.
La championne de tennis Marion Bartoli n’a jamais été là où on l’attendait, défiant à chaque fois les pronostics. Pas vraiment prédisposée à une carrière sportive, sa voie sera pourtant toute tracée par un père tennisman qui rêvait de faire de sa fille une championne, la faisant travailler jour et nuit pendant des années avec des méthodes avant-gardistes et surtout, en lui forgeant un mental d’acier. Car c’est ce dont elle aura besoin tout au long de sa carrière, elle, souvent moquée pour son physique peu attrayant et son manque de grâce sur le court. Mais peu importe, elle ira à l’encontre de ces phénomènes pour s’imposer et graver son nom sur le plus prestigieux des trophées de tennis au monde : Wimbledon, qu’elle remporte en 2013, réalisant enfin son rêve et mettant aussitôt après son sacre fin à sa carrière tennistique. Mal lui en a pris… Car la suite ressemble plus à une descente aux enfers qu’à un conte de fée, un cauchemar qu’elle a raconté dan son autobiographie, Renaître, sorti au printemps. Une période très difficile, notamment à cause d’une relation amoureuse toxique avec un homme qu’elle désigne dans son ouvrage par la lettre « D » : « Il ne mérite pas plus qu’une lettre, je pense », déclarait-t-elle en avril 2019 sur le plateau d’On n’est pas couché. « Je n’avais plus envie de vivre. Je trouvais que c’était inutile tellement ce qu’il me disait était absolument horrible. J’avais l’impression de ne servir plus à rien. » Un mal-être profond qui l’a plongera dans la dépression et lui fera faire n’importe quoi avec son corps, jouant au yo-yo avec son poids (descendant à 40 kilos) au point de frôler la mort. Aujourd’hui consultante tennis pour France Télévisions, celle qui a tenté un come-back sur les courts à l’automne, est amoureuse du footballeur belge Yahya Boumedienne à qui elle vient de se fiancer. Tout est bien qui finit bien.
La success story de la petite immigrée portugaise… et la chute. Avec un immense succès musical dans les années 70 et 80 en France (20 millions de disques vendus), couronné par le triomphe de son livre La valise en carton qui narre son destin hors-norme, de la misère au Portugal aux plateaux télé français (2 millions d’exemplaires vendus), Linda de Suza a connu une sérieuse heure de gloire. Mais le succès n’a pas duré, son agent l’a quittée, et Linda s’est rapidement retrouvée ruinée par une accumulation de coups durs (et les escroqueries de quelques personnes malintentionnées comme celle qui lui a usurpé son identité en 2010) qui l’ont plongée dans la misère. Une descente aux enfers qui l’a poussée à se prostituer et à tenter de mettre fin à ses jours. Aujourd’hui, Linda vit avec son chien dans une petite maison qu’elle loue dans l’Eure.
Voilà encore une des nombreuses victimes de la téléréalité… Souvenez-vous : en 2002, TF1 lance en grande pompe la deuxième saison de la Star Academy. En finale des filles, deux chanteuses s’affrontent, la brune froide à la voix grave Nolwenn, et la jolie blonde pétillante Emma Daumas. Si la gagnante surfe depuis dix-huit ans sur sa notoriété, il n’en a pas été de même pour la malheureuse finaliste. Même si elle signe chez Universal en quittant le « château » et qu’elle sort l’album Le saut de l’ange porté par le tube Tu seras (300 000 exemplaires écoulés), elle ne restera pas longtemps celle que l’on surnomme déjà la « Avril Lavigne française ». Car après deux nouveaux albums (Effets secondaires et Le chemin de la maison), la jolie blonde retombe petite à petit ans l’anonymat. En 2010, elle tente une nouvelle expérience avec un livre pour enfants qui ne rencontre pas sa cible, puis en 2013, son contrat avec Universal est rompu au moment où elle devient mère pour la première fois, une petite Valentine naît en mars de cette année. Depuis, entre mini-comeback tenté, sortie d’un livre (Supernova en 2016 dans lequel elle tacle le star-system) et pouponner à la maison, la belle Emma se fait discrète depuis quelques années.
A la fin des années 90, il a fait danser la France entière avec son groupe Manau (en duo avec Martial Tricoche), et leur tube Dans la vallée de Dana, avec « Hakim, le fils du forgeron » et tout ça. Vingt ans plus tard, loin de l’ambiance celtique qui a fait sa gloire et son succès, Cédric Soubiron, aujourd’hui âgé de 46 ans, a vécu une véritable descente aux enfers. Après avoir vendu 1,5 million de la fameuse Vallée et avoir remporté une Victoire de la musique en 1999 (devant MC Solaar ou NTM), Cédric a enchaîné les galères, avec comme cause principale, son amour irraisonnée pour la vie nocturne et les débits de boissons. « Je prenais une rue et je faisais tous les bars. Pas des trucs VIP mais plutôt les endroits sombres, vers Pigalle ou dans le 19e. Et ça me prenait beaucoup de temps pour m’en remettre« , avait-il confié il y a quelques années à Street Press. La motivation disparaît, le carnet d’adresses se referme, il arrête le rap et ouvre en 2006 une poissonnerie à Bagnolet, en région parisienne. Mais là encore, c’est un fiasco : se trouver à 5 heures du matin à Rungis pour choisir ses produits ne collaient pas avec son rythme de vie nocturne : « J’ai vécu l’enfer. J’ai perdu toutes mes économies. Je me suis retrouvé avec des dettes incroyables. Ils m’ont tout pris. » Aujourd’hui, Cédric survit grâce à ses droits d’auteur… qui servent principalement à rembourser ses nombreuses dettes, et il se serait lancé dans une carrière de comédien. Nous lui souhaitons tout le courage possible.
Autour de
Source: Lire L’Article Complet