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Patrick Bruel pas assez riche pour un vol direct : "22 heures de voyage" pour retrouver sa fiancée, folle anecdote
Dans d’une interview accordée à "Paris Match", Patrick Bruel s’est livré sur les folies qu’il a faites, dans les années 80 puis 90, pour séduire ses ex-femmes. Ce séducteur, capable de faire chavirer tous les cœurs, était prêt à tout pour conquérir celui de ses amoureuses.
Si les affaires marchent aussi bien pour ce joueur invétéré de poker, c'est peut-être parce qu'il ne bluffe pas lorsqu'il s'agit de réussir ou de faire plaisir. Depuis sa jeunesse, Patrick Bruel ne recule devant rien, surtout lorsqu'il s'agit de faire plaisir à l'élue de son cœur.
Patric Bruel et ce voyage express à New York… avec les croissants
Dans les colonnes de Paris Match, il raconte ainsi les folies qu'il a pu faire, en 1990, pour une femme. "J'étais très amoureux, elle habitait New York. Je l'avais appelée vers 4 heures du matin, donc 22 heures pour elle, lui souhaitant une bonne nuit en espérant la voir bientôt. À 11 heures, je fonce à l'aéroport avec des croissants et j'atterris à New York à 8 h30, à l'heure où elle se réveille. Je trouvais ça joli", se souvient-il.
Un voyage de 22 heures pour retrouver son premier amour : Patrick Bruel n'avait pas assez d'argent !
Onze ans plus tôt, l'interprète de Casser la voix, Alors regarde ou J'te mentirais avait déjà cassé sa tirelire, bien moins remplie, pour faire une surprise à Patricia, son amoureuse de l'époque. "Après avoir joué au poker jusqu'à 6 heures du matin, je dis à un de mes potes qui bossait chez Nouvelles Frontières de me payer en billets. Sauf que je n'avais pas gagné de quoi financer un vol direct pour New York", raconte-t-il à Paris Match. Pour parvenir à ses fins, Patrick Bruel a donc embarqué dans un train jusqu'au Luxembourg, où il a pris un avion pour l'Islande. Là, il a attendu "des plombes par – 42 °C une correspondance pour New York". Au total, "vingt-deux heures de voyage pour retrouver Patricia, ma fiancée brésilienne de l'époque", dit-il.
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Patricia, une relation marquante dans la vie de Bruel
En 2020, le chanteur était revenu sur les ondes de Chérie FM sur sa relation avec Patricia, son premier amour, avant d'entamer la chanson brésilienne Samba Em Preludion : "Le Brésil compte beaucoup pour moi. C'est avec le Brésil que j'ai appris la guitare puisque c'est avec Patricia, mon premier amour brésilien, quand j'avais 17 ans, que j'ai appris la guitare".
Leur histoire a duré 5 ans, avant qu'ils ne se perdent de vue. En 1989 cependant, alors qu'il enchaîne ses premiers succès, il avait eu la surprise de retrouver Patricia grâce à l'animateur Patrick Sabatier, dans l'émission Avis de recherche. "À un moment donné, l'écran s'est allumé et en direct en face de moi, il y avait Patricia avec sa guitare. Ça faisait 6 ans que je ne l'avais pas vue… C'était un moment d'une grande émotion", témoignait-il au micro de la radio.
Patricia, Amanda… Patrick Bruel : qui sont les vraies femmes de sa vie ?
Amanda Sthers, un amour différent outre-Atlantique
Si cette histoire avec Patricia a marqué à jamais la vie de Patrick Bruel, son ex-femme, l'écrivaine Amanda Sthers, y tient aussi une place très importante. Malgré seulement six ans de relation dont trois ans de mariage, avec l'annonce de leur séparation en 2007, deux enfants sont nés de leur amour : Oscar, né en 2003, et Léon, né en 2005. Le chanteur garde néanmoins de bons rapports avec la mère de ses fils, installée à Los Angeles depuis 2015. "J'ai beaucoup de tendresse pour Amanda. Il y a entre nous de l'admiration et toujours de l'amour, peut-être juste sous une forme différente. De toute façon, on ne se sépare jamais totalement de la mère de ses enfants", affirmait-il dans une précédente interview à Paris Match.
Des allers-retours aux Etats-Unis pour voir ses enfants
Pour rendre visite à ses enfants, le chanteur est régulièrement amené à traverser l'Atlantique en avion. Ce qui, nous l'aurons bien compris, est loin de lui déplaire. "J'aime monter à bord, m'asseoir et, pendant dix ou onze heures, pas de téléphone, rien pour me déranger, et je lis un scénario, une pièce, un livre, je rattrape des films, je dors un peu… Du coup, si j'ai besoin de voir mes enfants, même trois ou quatre jours, ça ne me dérange pas de faire le voyage."
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