Nolwenn Leroy évoque sa "rupture" comme jamais auparavant !

Au cours d’un entretien accordé à Télé 7 Jours, Nolwenn Leroy, coach dans la nouvelle saison de "The Voice Kids", est revenue sur son amour pour la musique. Un amour qui lui est venu très tôt, et qui l’a notamment "sauvée" au moment d’une "rupture familiale assez brutale".

Depuis petite, elle savait que le chant allait la suivre toute sa vie. En effet, Nolwenn Leroy était vouée à devenir chanteuse et sa carrière est là pour le prouver. Grande gagnante de la deuxième saison de la « Star Academy » en 2002, le fruit de son travail lui a permis d’offrir huit albums studio et deux albums live à ses fans. En plus de la musique, la compagne d’Arnaud Clément se lance depuis peu dans une nouvelle passion : la comédie.

Elle est actuellement en plein tournage pour la série « Brocéliande » dans laquelle elle va donner la réplique à Medi Sadoun et qui sera diffusé l’an prochain sur TF1. Même si elle prend beaucoup de plaisir à tourner, la chanson reste bel et bien sa passion première. Et pour cause, la chanteuse de 40 ans baigne de dans depuis son plus jeune âge et lui a permis de surmonter des épreuves assez compliquées comme elle l’a confié à nos confrères de Télé 7 jours.

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Nolwenn Leroy, la rupture qui lui a permis de « naître »

« Je chante depuis toute petite. Je faisais des spectacles dans ma chambre avec un faux guichet, des faux tickets. Je prenais les vêtements de maman et ceux de mes copines, quand ils venaient », s’est-elle souvenue au cours de l’entretien. Si Nolwenn Leroy est originaire du Finistère, et en est très fière, elle a pourtant vécu de nombreuses années en Auvergne. Notamment après la séparation de ses parents quand elle avait 11 ans. Une séparation qui l’a profondément marquée : « J’étais plus avec mon mange-disque, dans ma chambre, la musique très forte et je chantais très fort aussi, sûrement pour ne pas entendre ce qu’il se passait ».

En effet, celle qui ne veut pas jouer « la fliquette » dans « Brocéliande », se souvient d’une « rupture familiale assez brutale ». C’est grâce à la musique qu’elle a pu passer outre cette période difficile : « Je me suis plongée dans la musique et ça ne m’a jamais quittée. Je ne sais plus si je voulais déjà en faire mon métier, mais je savais qu’il n’y avait que ça qui me faisait du bien. Lorsque je chantais, ça apaisait mes peurs, mes angoisses. C’était une forme de thérapie ». Une « thérapie » qui lui a permis d’en faire sa passion et qui permet d’envoûter toujours autant de fans au fil des années.

R.F

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