Nikos Aliagas : ce jour où Florent Pagny lui a glissé à l’oreille un méchant tacle

Dans une interview accordée à Télé 7 Jours, Nikos Aliagas s’est confié sur ce jour où Florent Pagny lui a glissé un méchant tacle à l’oreille…

Nikos Aliagas a fait une petite confidence. Interrogé par Télé 7 Jours, l’animateur de The Voice a évoqué cette fois où le chanteur Florent Pagny lui a glissé un méchant tacle à l’oreille. C’était en 2002, au lancement de l’émission Star Academy. "Etienne Mougeotte, dirigeant de TF1, me contacte pour me proposer l’émission. J’accepte par instinct. La première est chaotique. Florent Pagny, qui est le parrain, me glisse à l’oreille : ‘Ce n’est plus ce que c’était la télé, je ne comprends rien à ton truc. T’es pas au point…’ La première émission ne marche pas" a confié Nikos Aliagas.

Malgré ses doutes sur ses capacités à porter le programme, Nikos Aliagas n’a pas lâché, notamment grâce à sa maman. "Je rentre un soir dormir chez mes parents. Je veux tout arrêter. Au matin, ma mère me chahute : ‘Il est 6h tu te lèves ! Ton grand-père est rentré du front à pied, lui ! C’est dur ? Tu n’avais qu’à pas y aller ! Mais maintenant tu y es alors tu finis la danse !’ Je suis resté jusqu’au bout et je suis fier de l’avoir fait. Et vingt ans après, je suis toujours ami avec Florent Pagny !" a ajouté Nikos Aliagas. Il faut en effet préciser que les deux personnalités travaillent toujours ensemble notamment sur The Voice.

Nikos Aliagas revient sur sa première apparition télé

A noter que lors de cette interview, Nikos Aliagas en a profité pour revenir sur sa première apparition à la télévision dans l’émission Croque-vacances. "J’ai 16 ans. La production est venue chercher des enfants grecs, dans mon école, pour parler de Noël en plateau. Je me  retrouve à côté des deux marionnettes", a-t-il lancé avant de préciser : "J’observe les lumières, mais je n’ai pas de velléité pour ce monde. Je fais du théâtre mais c’est un loisir. Je veux être juge d’instruction ou écrivain". Alors que son père souhaitait retourner en Grèce car il estimait "qu’avec ma mère, ils ont déjà beaucoup pris à la France et qu’il ne faut pas qu’on dérange", toute la famille décide finalement de rester en France. Une initiative qui permet au jeune Nikos d’intégrer RFI trois ans plus tard.

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