Nicolas Sarkozy rabaissé par son père… Le seul de la famille à être “petit“

D’après les révélations du Monde, mises en ligne le 31 décembre dernier, Nicolas Sarkozy aurait été rabaissé par son père, Pal Sarkozy de Nagy-Bocsa, pour son physique. L’avocat l’a toujours trouvé trop “petit”.

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Le lien se brise. Le monde s’écroule. Au début des années 60, le père de Nicolas Sarkozy, Pal Sarkozy de Nagy-Bocsa, se fait la malle. Sans vergogne, le père de famille, originaire de Hongrie, délaisse femme et enfants. L’ancien président de la République, qui a récemment craqué à son procès au tribunal correctionnel de Paris, grandit alors sans figure paternelle. Sa plus grande blessure. Dans une émission de télévision, en 2005, l’époux de Carla Bruni avait évoqué sa relation compliquée avec son père en reprenant les paroles de la chanson Si seulement je pouvais lui manquer de Calogero : “À part d’un père, je ne manque rien.” Ce père qui, quelques années plus tôt, l’a renié pour sa petite taille.

Nicolas Sarkozy ne mesure qu’un petit mètre et soixante-six centimètres. Ses frères Guillaume et François toisent quelques centimètres de plus que lui. D’après les révélations du Monde, parues le 31 décembre dernier, son père n’aurait jamais supporté qu’il soit le seul de la famille à être “petit”. Un défaut, selon lui, qui l’aurait empêché de l’aimer comme ses autres enfants. Alors que Pal Sarkozy de Nagy-Bocsa aurait toujours vu ses fils comme de beaux hommes, grands et forts, Nicolas Sarkozy n’aurait jamais eu le droit à tant d’éloges. Il n’aurait donc jamais été son enfant préféré.

Il lui en “voulait terriblement”

Décrit comme “absent”, “encombrant”, “flambeur” ou encore “désinvolte” par nos confrères du Monde, son père, désormais âgé de 92 ans, n’aurait pas totalement déserté la vie de Nicolas Sarkozy. Il se serait incrusté, de temps à autre, lors de repas familiaux. Interrogé par le journal, Brice Hortefeux, un de ses plus proches amis, a affirmé n’avoir jamais été témoin de “relations apaisées” entre père et fils. “Nicolas lui en voulait terriblement d’avoir abandonné sa mère. Moi qui venais d’une famille bourgeoise classique, j’écarquillais les yeux quand il me disait qu’il allait voir son père pour le contraindre de payer à sa mère la pension alimentaire”, s’est-il souvenu.

Article écrit avec la collaboration de 6Medias

Crédits photos : Crystal Pictures / BESTIMAGE

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