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Mort du prince Philip : pourquoi Sarah Ferguson devrait être absente des funérailles
Le prince Philip sera conduit à sa dernière demeure ce samedi 17 avril. Seuls 30 convives seront présents, la faute à la pandémie de Covid-19. L’époux d’Elizabeth II, qui n’aimait rien tant que la discrétion, aurait été séduit par la cérémonie qui se prépare.
Sarah Ferguson
Prince Philip
L’époux d’Elizabeth II sera enterré ce samedi 17 avril. Les obsèques, privées, se dérouleront au château de Windsor. Le cercueil du prince Philip sera déposé à l’entrée du château en début d’après-midi par des porteurs de la Queen’s Company avant d’être placé dans un Land Rover aménagé selon les souhaits du prince Philip. A 14h45, débutera la procession vers la chapelle St George où se dérouleront les funérailles. Une organisation simple à la rigueur quasi militaire qui n’aurait certainement pas déplu au prince consort qui n’aspirait qu’à la simplicité et la discrétion. Si Philip avait exigé que l’on ne fasse pas « tout un plat » de son centième anniversaire, qui aurait dû être célébré le 10 juin prochain, il en allait de même quant à sa mort. Ce dernier aurait donc été ravi de voir ses doléances respectées.
Brûler ce qu’on a adoré
En raison de la crise sanitaire seules 30 personnes devraient être autorisées à accompagner le duc d’Edimbourg dans sa dernière demeure et il semble que la presse britannique s’attend à ce que l’une des figures les plus appréciées du royaume brille par son absence… Sarah Ferguson, puisque c’est d’elle qu’il s’agit n’a pour l’heure pas rendu hommage au prince et ne devrait d’ailleurs pas le faire. Car si elle a un temps été la belle-fille préférée du père d’Andrew elle a depuis dégringolé dans l’estime de l’élégant Mountbatten. Le Daily Mail révèle que le prince s’était toujours gardé de commenter la vie privée de ses enfants mais qu’il avait fait une cinglante exception pour la mère des princesses Beatrice et Eugenie. La faute à une photo parue dans le Daily Mirror en 1992 où la princesse se faisait embrasser les orteils par son amant d’alors, John Bryan.
Si Sarah Ferguson essaya longtemps de se faire pardonner et parvint à assouplir le cuir d’Elizabeth II, elle n’obtint aucun retour en grâce de la part de son beau-père profondément déçu. » C’était ridicule. Aussitôt que je passais une porte, il se précipitait sur une autre manquant se prendre les pieds dans les Corgis [les chiens de la reine, ndlr] C’était très drôle. Sauf qu’en réalité ça ne l’était pas « , s’était souvenu Sarah Ferguson. « Je ne nourris aucune rancune, mais cela ne m’intéresse pas de la revoir » avait quant à lui déclaré le prince évoquant celle par qui le scandale était arrivé. Il avait également affirmé au sujet de sa belle-fille « qu’elle avait eu une attitude inimaginable « . « Son comportement est un peu irrationnel » avait-il estimé ne comprenant pas pourquoi son fils continuait de vivre sous le même toit que la volcanique rousse. De l’amour à l’indifférence il n’y a qu’un pas, que le mari d’Elizabeth avait donc allègrement franchi…
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