Mohammed Ben Salman : huîtres Gillardeau et bœuf wagyu les folies du prince

Devenu l’homme fort de l’Arabie saoudite, le prince héritier Mohammed Ben Salman ne se prive de rien. Huîtres Gillardeau, boeuf wagyu, fastueuses demeures… Aucune extravagance n’est de trop pour vivre la meilleure vie de prince.

A la tête de ressources financières inépuisables, Mohammed Ben Salman s’en donne à coeur joie. A 35 ans, celui qui est devenu le prince héritier en 2017 ne dépense pas seulement des millions pour s’offrir un Leonardo de Vinci, comme on l’a vu avec le tableau Salvator Mundi sur fond de polémique. Dans Le Figaro, on en apprend en effet plus sur ses goûts assez particuliers, notamment en matière de plaisirs gustatifs, qui en disent long sur son train de vie.

Totalement accro aux huîtres Gillardeau et au boeuf wagyu, découverts au cours de ses vacances, l’époux de la princesse Sara a été confronté à un petit problème : ces produits ne sont pas autorisés à entrer en Arabie pour des raisons sanitaires. Mais pas de quoi arrêter le prince héritier qui a vite trouvé la solution. Tous les quinze jours, depuis quatre ans, un avion s’envole vers Dubaï pour aller chercher des huitres et du boeuf japonais massé à la bière. Tant pis pour le bilan carbone.

La maison la plus chère du monde

Et ce n’est évidemment pas la seule extravagance du prince étiqueté moderne, accusé d’être impliqué dans le meurtre du journaliste dissident Jamal Khashoggi en 2018. Quand il n’est pas aux Maldives, aux Seychelles ou sur son yacht acheté 350 millions de dollars au milliardaire Roman Abramovitch – et que MBS, obsédé par sa sécurité, fait surveiller par un hélicoptère en plus d’y avoir intégré un hôpital – il occupe des demeures plus fastueuses les unes que les autres à Riyad ou à Djedda.

En France, en plus de son hôtel particulier dans le 16e arrondissement de la capitale, l’héritier du trône s’est payé le « château Louis XIV » à Louveciennes (Yvelines), pour 275 millions d’euros. La « maison la plus chère du monde«  avec marbre blanc, fontaines, 200 lustres faits « à la main » et des feuilles d’or. « J’ai utilisé plus de feuilles d’or que lors de la réfection du dôme des Invalides« , confiait un doreur. Le château ne sera toutefois prêt qu’au printemps 2022. Car lors de sa découverte de la demeure, en 2018, quelque chose « n’a pas plu » au fils du roi Salman, selon l’un des participants à la vente : « Il a fallu refaire une bonne partie des intérieurs. »

Crédits photos : DOMINIQUE JACOVIDES / BESTIMAGE

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