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Michel Drucker humilié à l'hôpital : ce qu'il redoutait le plus concernant les infirmières
Michel Drucker est passé près de la mort en septembre 2020. L’animateur a décidé de raconter son hospitalisation dans un ouvrage paru jeudi 29 avril 2021 et intitulé Ça ira mieux demain (Éd. Robert Laffont). Il y revient notamment sur la perte d’intimité, qui l’a traumatisé.
- Michel Drucker
Michel Drucker l’a échappé belle. Le présentateur a dû être hospitalisé en septembre 2020 et a enchaîné les problèmes de santé : septicémie, risque d’amputation, triple pontage puis infection de sa cicatrice… Après six mois difficiles et de nombreuses séances de rééducation, l’animateur a fait son grand retour à la télévision dans Vivement Dimanche dimanche 28 mars 2021. La star du Paf va beaucoup mieux comme ont pu le constater les téléspectateurs. De nouveau sur pied, Michel Drucker a décidé de raconter son combat dans un ouvrage intitulé Ça ira mieux demain (Éd. Robert Laffont) et paru jeudi 29 avril 2021. La vedette du petit écran y revient sur son hospitalisation, sans faire l’impasse sur les détails les plus intimes. Très affaibli, Michel Drucker a en effet dû mettre sa vie entre les mains des soignants, qui l’ont lavé, habillé et aidé à faire ses besoins pendant de longues semaines.
« J’ai perdu mon intimité. Ici, je suis devenu cette chiffe qu’on habille ou déshabille, qu’on lave, qu’on frictionne, qu’on fait uriner avant de l’asseoir sur le pot comme un enfant de soixante-dix ans sonnés », écrit-il dans son ouvrage. Difficile pour le présentateur de laisser les infirmières et les aides-soignantes s’occuper ainsi de lui… Michel Drucker, qui s’est senti humilié pendant ces quelques semaines, a même commencé à avoir une crainte : que ces dernières commentent et comparent ses parties intimes une fois de retour chez elles.
« La grôôôsse ou la p’tite commission, Monsieur Diocard ? »
Pour garder un minimum d’intimité et éviter les paparazzis pendant ces moments extrêmement difficiles à vivre, Michel Drucker avait toutefois prévu un nom d’emprunt au sein de l’hôpital : Fiacre Diocard. Fiacre, car il y a été admis un 30 août, jour de la Saint Fiacre, et « Diocard », qui signifie « cardio » en verlan. « La grôôôsse ou la p’tite commission, Monsieur Diocard ?« , lui demandaient donc les soignants lors de son séjour. Une phrase qui est restée gravée dans sa mémoire et qu’il a tenu à retranscrire dans son livre.
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