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Meghan Markle et le prince Philip : ce point commun quelque peu éprouvant
Le prince Philip aurait volontiers conseillé sa petite-fille par alliance, Meghan Markle, si elle le lui avait demandé, assure l’auteur britannique Ian Lloyd, dans son dernier ouvrage consacré au duc d’Édimbourg. Tous deux ont en effet rencontré des difficultés d’intégration au sein de la famille royale, mais ont adopté deux attitudes radicalement opposées.
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Le prince Philip d’Angleterre « aurait pu aider et conseiller » Meghan Markle, estime l’auteur britannique Ian Lloyd, dans son dernier livre The Duke : 100 chapters in the life of Prince Philip. L’écrivain spécialiste de la famille royale évoque dans son ouvrage le point commun entre le duc d’Edinburgh, époux de la reine Elizabeth II, et sa petite-fille par alliance. Tous deux ont en effet eu des difficultés d’intégration au sein du clan de Buckingham Palace. Mais selon l’auteur, le prince Philip aurait volontiers accepté de lui venir en aide, fort de son expérience, si elle lui en avait fait la demande, a-t-il rapporté au journal The Telegraph.
Aux prémices de sa relation avec la future reine, le prince Philip a connu un sort similaire à celui de l’actrice américaine Meghan Markle qui a épousé en 2018 le prince Harry. Le futur centenaire était en effet la cible, selon Ian Lloyd, de diverses moqueries et remarques peu amènes du clan royal. Celui-ci écrit qu’il était « bien plus pauvre » que les membres de la famille royale, qui le « détestaient vraiment » et l’approchaient « avec beaucoup de suspicion ». Le prince vient en effet d’une famille au parcours difficile : sa mère, la princesse de Grèce et du Danemark, souffrait de problèmes psychiatriques et son père, le prince Andrew de Grèce et du Danemark, a fui en France en 1922 sans se retourner. Au premier rang des détracteurs du prince Philip se trouvaient le roi George VI et les amis de la future reine. De quoi fortement le déstabiliser.
« Il a essayé de s’adapter »
Toute place dans la famille royale est difficile à occuper. En effet, la seule personne centrale et indispensable étant la reine, tous les autres sont cantonnés à des rôles périphériques et discrets. Ian Lloyd décrit ainsi la contrariété qu’a pu éprouver le prince Philip qui n’a « jamais été à la tête de sa propre famille ». Et d’ajouter : « Je pense qu’il a trouvé ça dur, mais il a essayé de s’adapter. »
Sa petite-fille par alliance Meghan Markle, a pris la décision inverse en renonçant à son rôle officiel au sein de la royauté. Si le duc d’Édimbourg s’est toujours refusé à critiquer publiquement la famille royale et n’a jamais commenté les rumeurs de relations extraconjugales le visant, l’actrice américaine a choisi d’affronter les tabloïds pour les tenir à l’écart.
« Megxit »
Aussi, si elle s’était tournée vers le prince Philip pour obtenir quelques conseils, ils ne lui auraient probablement pas convenu. L’auteur qui a interrogé de nombreux proches du palace pour rédiger son ouvrage estime qu’il l’aurait « conseillée » avec plaisir, mais l’aurait vraisemblablement encouragée à « baisser la tête et laisser couler » les critiques. C’est peut-être pour cette raison que l’ancienne star de Suits ne s’est pas épanchée auprès du grand-père de son époux, qui a toujours revendiqué son sens du devoir royal.
Article écrit en collaboration avec 6Medias
Crédits photos : AGENCE / BESTIMAGE
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