Accueil » Célébrités »
Meghan Markle, c’est « Pinocchio » : la duchesse face à ses mensonges
Selon l’animateur britannique Piers Morgan, Meghan Markle aurait dit « 17 gros mensonges » au cours de son interview avec Oprah Winfrey. Si tout ne peut être vérifié, certaines déclarations de la duchesse de Sussex sont en effet à prendre avec des pincettes.
A propos de
-
Meghan Markle
La vengeance est-elle est un plat qui se mange froid ? Depuis son départ de l’émission Good Morning Britain, l’animateur britannique Piers Morgan n’en finit plus de cracher son venin sur sa grande rivale Meghan Markle. A en croire certains médias britanniques, la duchesse de Sussex serait responsable de sa démission (forcée) de la chaîne ITV, après qu’il s’est moqué des propos de la jeune femme dans l’interview d’Oprah Winfrey. C’est d’ailleurs l’entretien organisé avec la célèbre journaliste américaine qui continue de provoquer l’ire de Piers Morgan. Selon lui, Meghan Markle y aurait assené « 17 gros mensonges ». Invité dans l’émission Tucker Carlson Tonight, Piers Morgan a ainsi affirmé : « Il y a tellement de gros mensonges ridicules dans cette interview que franchement, à la fin, dire que je la crois reviendrait à dire que je crois Pinocchio« .
Si Piers Morgan ne constitue pas en soi une source fiable, de nombreux médias spécialisés ont démontré que certaines affirmations de Meghan Markle étaient à prendre avec des pincettes. De nombreuses déclarations de l’ancienne actrice se sont avérées fausses, à l’instar de son mariage secret avec Harry. Dans son interview à Oprah Winfrey, la maman d’Archie affirmait qu’elle et Harry s’étaient mariés trois jours avant la cérémonie officielle. Faux, comme le rappelle le Daily Mail ce 6 avril. Le couple a même dû démentir ces propos deux semaines après leur entretien, lorsque le bureau général de l’état civil britannique a dévoilé pour la première fois le certificat de mariage du couple… en date du 19 mai 2018, le jour même où ont lieu les grandes festivités rediffusées sur les télévisions du monde entier.
Plusieurs contre-vérités
Là n’est pas le seul mensonge de Meghan Markle. Durant son interview, elle a suggéré que leur fils Archie n’avait pas eu le droit au titre de prince parce qu’il était métis. Or, la réalité est plus complexe. Seuls les enfants d’un héritier direct au trône, comme c’est le cas des trois enfants du prince William, bénéficient du titre de prince ou de princesse. Un titre de courtoisie peut être attribué aux autres petits-enfants, mais rarement aux arrière-petits-enfants. Quand le prince Charles deviendra roi, il pourra alors octroyer un titre au petit Archie et sa future soeur.
Meghan Markle a également énoncé d’autres contre-vérités, comme quoi son fils n’aurait pas le droit à une sécurité 24h/24 et 7 jours/7. « Au cours de ces mois où j’étais enceinte, à peu près à la même époque, nous avons (eu) l’affirmation selon laquelle il ne recevra pas de sécurité », déclarait la duchesse de Sussex pendant son entretien à Oprah Winfrey. Or, avoir le titre de princesse ou de princesse n’octroie pas forcément une sécurité. De nombreux membres de la monarchie britannique doivent payer la leur, comme les princesses Beatrice et Eugenie, les filles du prince Andrew et petites-filles de la reine Elizabeth II.
Des exagérations
D’autres éléments ont également mis la puce à l’oreille des médias. Au cours de son entretien avec Oprah Winfrey, l’épouse du prince Harry a affirmé qu’elle n’avait pas vu sa demi-soeur, Samantha Markle (l’une des premières à la critiquer dans les médias), depuis « au moins 18, 19 ans » et qu’elle avait été élevée comme « une fille unique ». Or, à en croire une photographie dévoilée par Samantha Markle elle-même, la duchesse de Sussex se serait rendue à une cérémonie de remise des diplômes de sa demi-soeur en 2008, soit il y a 13 ans.
Autant de fausses déclarations auxquelles s’ajoutent certaines exagérations, comme celle où Meghan Markle affirme ne jamais s’être renseignée sur la famille royale britannique avant sa rencontre avec le prince Harry. Un fait peu vraisemblable à en croire leur biographie Finding Freedom, sortie en août dernier. Selon les auteurs Carolyn Durand et Omid Scobie, proches du couple, avant son premier rendez-vous avec le frère de William au Dean Street Townhouse en 2016, la jeune femme a été obligée de se renseigner sur les différents participants de l’événement. « Naturellement, les deux participants à ce blind date ont fait leurs devoirs avec une recherche approfondie sur Google. Harry, qui a repéré Meghan sur les réseaux sociaux, était intéressé », écrivent les deux journalistes. Des éléments qui viendront à coup sûr jouer contre Meghan Markle.
Crédits photos : AGENCE / BESTIMAGE
Autour de
Source: Lire L’Article Complet