Maïa Mazurette : après la perte de son compagnon, elle révèle être passée elle aussi très proche de la mort

Maïa Mazurette anime les chroniques sexo sur France Inter mais elle intervient aussi dans Quotidien sur TMC. La journaliste de 42 ans affiche toujours son incroyable sourire pour aborder, sans vulgarité et avec beaucoup d’intelligence, la sexualité et ses pratiques. Dans son podcast de France Inter Une histoire intime : Traverse, elle a révélé être passée à deux doigts de la mort.

Maïa Mazaurette

Yann Barthès

C’est l’un des nouveaux visages de l’équipe de Yann Barthès depuis la rentrée de septembre 2020. Maïa Mazurette a rejoint les chroniqueurs de Quotidien, pour la plus grande joie des téléspectateurs. Ces derniers avaient déjà eu le loisir de faire sa connaissance en fin de saison passée. La journaliste intervenait alors chaque vendredi au cours d’une chronique sexo, en duplex de Brooklyn où elle résidait. La belle de 42 ans distille désormais ses conseils avisés non seulement sur TMC mais aussi, mais à la radio dans Grand bien vous fasse sur France Inter. Volubile, chevelure de feu, large sourire : on peut compter sur Maïa Mazurette pour désacraliser tout ce qui a rapport au sexe !

Mais celle qui n’a pas son pareil pour démocratiser les questions liées au sexe, affiche le même ton décalé, intelligent et finalement très pertinent sur un autre sujet tout aussi touchy, la mort. Pour elle, pas question d’aborder la mort « de façon triste », et c’est ce qu’elle propose dans son podcast de France Inter Une histoire intime. Pour cela, elle s’appuie sur sa propre expérience: il y a sept ans, Maïa Mazaurette a été confrontée au pire : la perte de son compagnnon. « Mon histoire n’est pas une histoire triste, rappelle-t-elle. Je vais vous raconter comment les vivants traversent la mort – en l’affrontant, pas en l’évitant ». Ce qu’elle a elle-même vécu il y a 2 ans.

« J’avais absolument aucune angoisse »

Car la chroniqueuse de Yann Barthès s’est vue effectivement mourir. « J’ai failli mourir d’une septicémie (présence de bactéries dans le sang, ndlr) il y a deux ans. Je perdais progressivement mes sensations, je perdais progressivement ma respiration. Comme j’étais toujours lucide, je suivais la dégringolade de mes signes vitaux sur les écrans de contrôle », explique-t-elle avec beaucoup de recul. « En toute sincérité, j’avais absolument aucune angoisse. Je dressais mon petit bilan personnel : 40 ans sur Terre, ce n’était finalement pas un si mauvais score« , assure-t-elle avec malice. Maïa Mazaurette ajoute même : « J’étais encore curieuse, même à ce moment-là, je ne voulais pas rater le grand final. Je voulais voir. À la rigueur, j’étais même un peu excité à l’idée d’affronter la fin de partie. Puis finalement, je m’en suis tirée, mais je suis toujours curieuse« , conclut-elle. Philosophe, sage ou cynique ? Il y a vraisemblablement des trois chez Maïa Mazurette.

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