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"Les Z’amours" : Bruno Guillon choqué par la trypophobie, la drôle de phobie dont souffre cette candidate
Jeudi 4 février 2021, Bruno Guillon a fait la connaissance d’Astrid, l’une des candidates de son émission Les Z’amours. Atteinte d’une maladie peu connue, la trypophobie, la jeune femme a tout expliqué au présentateur.
- Bruno Guillon
Stéphane Guillon est un humoriste comblé : depuis qu’il a repris les rênes de l’émission Les Z’amours après le renvoi de Tex, le présentateur peut distiller du lundi au samedi à partir de 11h30 ses blagues aux trois paires de couples qui tentent de remporter ensemble la mise. Jeudi 4 février 2021, l’animateur a ainsi pu se moquer gentiment d’Astrid, l’une de ses candidates du jour venue avec son compagnon Marc qui travaille dans la logistique. Lors d’une question sur les phobies, la jeune mère de famille a en effet fait savoir qu’elle avait peur des trous. « Quand il y a plein de petits trous… « , a-t-elle tenté d’expliquer à Bruno Guillon, qui lui a rétorqué avec humour : « Donc, vous ne mangez jamais de gruyère ? ». « Non mais ça, ça va. C’est des gros trous. C’est vraiment les petits trous, genre les pores de la peau quand on zoome un petit peu », a-t-elle ajouté.
« Ce qu’on appelle la trypophobie quoi », a alors résumé l’animateur. Pour aider Bruno Guillon qui n’a pu s’empêcher de la taquiner, comme à son habitude, la production de l’émission a ensuite fait retentir sur le plateau le célèbre titre Le poinçonneur des Lilas, dans lequel Serge Gainsboug chante : « Je fais des trous, des petits trous, encore des petits trous. Des petits trous, des petits trous, toujours des petits trous ». « Même d’en parler pour moi c’est compliqué », avait pourtant prévenu la jeune Suissesse, avec des sanglots dans la voix.
D’où vient la trypophobie ?
Selon une récente étude dirigée par Tom Kupfer, chercheur en émotions à la Vrije Universiteit d’Amsterdam, et citée par Slate, ce dégoût incontrôlable pour les trous serait lié à un instinct qui permettrait d’éviter les parasites : les trypophobes pourraient en effet inconsciemment assimiler les trous à une conséquence de ces agents pathogènes, notamment à cause de leurs formes qui évoquent les symptômes de maladies telles que la variole, la rougeole ou le typhus.
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