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Les impubliables : la sale des fêtes
Dans toutes les soirées parisiennes, son look est observé, décrypté, imité. Mais sous les fringues fashion, cette célèbre styliste a de quoi doucher notre enthousiasme.
« Qu’est-ce que vous portez ??? » Où qu’elle passe, c’est LA question que tout le monde lui pose. Son look étant aussi pointu que ses stilettos, la France entière (ou presque) rêve en effet de lui ressembler. Véritable référence dans le domaine de la mode, cette célèbre styliste hexagonale pourrait même se muer en influenceuse, tant elle est copiée… Autant dire que quand elle débarque quelque part, on a envie de l’approcher, histoire que son staïle déteigne un peu sur nous. Sauf que ce n’est pas la seule chose qui se dégage d’elle… Voilà en tout cas ce que nous a confié la propriétaire d’un institut de beauté parisien dans lequel elle a ses habitudes. “La première fois qu’elle est venue, nous étions toutes excitées”, amorce la jeune femme, sous couvert d’anonymat. “Avoir une pointure comme elle, c’est top !”
Mimi mais cracra
À ceci près que l’esthéticienne qui va ce jour-là se charger d’elle ne va pas tarder à déchanter. Car sous la tenue ultra-hype et le make-up impeccable, ne se cache en fait pas la nana parfaite que l’on attendrait. “Elle était venue pour un soin du visage et j’ai mis une quinzaine de minutes à la démaquiller, tellement elle avait de fond de teint. Clairement, elle ne se lave pas la peau chaque jour, et se contente d’empiler les couches !” Mmmm, sympa, la poudre aux yeux ! Sans compter que le nettoyage des aisselles lui semble apparemment tout aussi accessoire, à en croire l’odeur de transpiration qu’elle aurait ce jour-là laissée dans la cabine. “Ça peut bien sûr arriver après une longue journée”, nuance notre source. “Je n’en ai pas fait un flan non plus.” Mais notre fashionista va revenir.
Et à chaque fois, le constat sera le même : celui d’une femme aussi mimi que cracra, pour qui la douche n’est visiblement pas un passage obligé de la journée. C’est du propre ! De quoi ôter d’ailleurs l’envie aux pauvres employées des lieux de l’approcher. “Plus personne ne veut s’occuper d’elle”, nous avoue-t-on. “On pourrait limite en faire un bizutage pour les nouvelles !” Comme quoi, avec de tels effluves, même une icône reste rarement en odeur de sainteté…
Maëlle Brun
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