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"Les gens ont cru que c’était une chanson contre le racisme mais pas du tout !", un célèbre proche de Jean-Jacques Goldman brise une rumeur vieille de plusieurs décennies !
Dans une récente interview pour le média Purecharts, Michael Jones est revenu sur son amitié avec Jean-Jacques Goldman et la naissance du titre "Je te donne".
Michael Jones et Jean-Jacques Goldman sont inséparables. Depuis plus de 40 ans, les deux artistes entretiennent des liens solides. Ensemble, ils ont même donné naissance à plusieurs titres iconiques comme Je te donne, Il suffira d’un signe ou encore À nos actes manqués. Des morceaux qui résonnent encore à nos oreilles. Bien plus qu’un simple collaborateur, Jean-Jacques Goldman est « le frère » que Michael Jones a choisi. « Dès le départ, c’était une évidence. On ne s’est pas posé de question, on a tout de suite commencé à jouer ensemble et ça a fait ‘bling’ ! », confiait le chanteur et guitariste franco gallois sur le plateau de C à vous en février 2022.
Récemment interviewé par le média Purecharts, le Britannique a eu l’occasion de revenir, une nouvelle fois, sur sa rencontre avec son ami de longue date. « J’étais appelé à le remplacer sur une tournée où Jean-Jacques ne pouvait pas aller. Et on s’est rencontré en personne pendant le choix des chansons pour le troisième album (Last Flight, sorti en 1979, ndlr). Cette rencontre est un coup de foudre musical », a-t-il déclaré.
« Ça raconte notre histoire »
La chanson Je te donne est d’ailleurs un hymne à leur amitié exceptionnelle. « Il m’a amené la maquette avec son texte et il m’a dit : ‘Voilà ça raconte notre histoire, donc il faut que toi, tu chantes ta partie en anglais. Et il faut que tu écrives le texte’. J’ai écrit le texte en anglais qui raconte notre histoire version britannique et lui la raconte, version française. Et il se trouve que ça a parlé à beaucoup de gens ».
Il ajoutait également : « La chanson parle de nos vies à nous, du fait que deux personnes d’horizons totalement différents, de pays différents, de cultures différentes puissent se rencontrer et avancer ensemble. C’était en pleine période de ‘Touche pas à mon pote’et les gens ont pensé que c’était une chanson contre le racisme. Pas du tout ! C’est pour le métissage ». De touchantes confidences.
V.B
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