Accueil » Célébrités »
Leonor d’Espagne, future reine : son grand-père Juan Carlos reste une sérieuse menace
Alors que Leonor d’Espagne se prépare à devenir la future reine, la monarchie espagnole a de nouveau été éclaboussée par les actions de son grand-père, Juan Carlos. Des conséquences lourdes sont à prévoir pour la famille, qui redoute son retour au pays.
A propos de
-
Juan Carlos d’Espagne
-
Felipe d’Espagne
-
Leonor d’Espagne
Juan Carlos alimente le feu de l’institution. Le roi déchu est sous le coup d’une quatrième investigation pour trouver l’origine des 4,4 millions d’euros versés à l’administration fiscale en février. Cette nouvelle enquête ne présage rien de bon pour la monarchie espagnole. En effet, d’après le site Vanity Fair, l’un des possibles scénarios cauchemardesques envisagés est que le roi soit appelé à témoigner.
Son retour d’Abu Dhabi, où il est exilé, éclipserait davantage les efforts de Felipe pour introduire sa fille, Leonor, mais notamment pour redorer l’image de l’institution. Depuis des mois, la Casa Real et le gouvernement travaillent sur une formule politique pour être transparent et éviter les excès personnels. Ainsi, cette réforme est rédigée pour que la Couronne se conforme « aux niveaux d’exigences éthiques de la société espagnole. » Une manière de montrer que le style de vie de Felipe n’a rien à voir avec celui de son père.
Face au retour de Juan Carlos pour des questions juridiques au pays, la crainte est présente. Des sources de la Casa Real ont révélé que le roi « est fou de revenir et rend tout le monde fou. » Et d’après leurs dires, cet appel à témoigner lui permettrait de rompre avec joie cet étrange auto-exil.
Des scandales de plusieurs millions d’euros
Juan Carlos n’a pas hésité à appeler une douzaine d’amis à la rescousse pour régler ses dettes. Ainsi, hommes d’affaires et aristocrates avaient réuni 4,4 millions d’euros, mais cet argent interroge. Et pour tenter d’échapper à des poursuites pour délit de blanchiment d’argent, celui qui a abdiqué en 2014 avait déjà versé 680.000 euros au mois de décembre, pour une première régularisation. Un coup de poker pour calmer le fisc espagnol. Pour autant, les autorités locales n’oublient pas non plus les deux autres enquêtes qui le visent.
Crédits photos : Bernard Patrick/ABACA
Autour de
Source: Lire L’Article Complet