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Le prince Harry accuse la famille royale de négligeance ; "je pensais qu'on m'aiderait"
Au lendemain de la sortie de son docu-série sur Apple TV+, "The me you can’t see", le prince Harry poursuit ses tacles à la famille royale dans le programme bonus : "A path forward"…
Ce vendredi 28 mai, le docu-série en 5 parties du prince Harry, « The me you can’t see », diffusé sur Apple TV+ a droit à une suite ! Dans un nouvel épisode bonus appelé « A path forward » (un chemin à suivre), le mari de Meghan Markle se propose avec Oprah Winfrey de faire le bilan.
« La honte » de certaines familles
Lui qui veut briser le tabou autour des problèmes de santé mentale, et encourager ceux qui en ont besoin à parler et à entamer une thérapie, a confié à l’animatrice comment il avait « appris » que les familles pouvaient « ressentir de la honte » lorsqu’elles entendaient parler des troubles mentaux de certains membres. Il assure en effet, « Mais nous savons tous que lorsque les gens souffrent et se débattent, nous sommes tous incroyablement doués pour le dissimuler à ceux qui savent que nous le dissimulons ».
Dans l’interview, Harry a de nouveau lancé des attaques contre sa famille – et a admis avoir consommé de la drogue et de l’alcool dans le passé pour échapper à son angoisse. Il a révélé qu’il était en thérapie depuis « quatre ou cinq ans » et a expliqué qu’il avait tourné le dos à la Grande-Bretagne et à sa famille pour « briser le cycle » de chagrin transmis de génération en génération, chez lui. Il a déploré : « Je pensais que ma famille m’aiderait, mais chaque demande et avertissement, peu importe laquelle, a reçu un silence total, une négligence totale« .
Il faut écouter et être là
Critiqué pour ses confidences trop brutes, le prince Harry a par ailleurs assuré qu’on ne le ferait pas taire, et qu’il espérait qu’on regarde un jour « la source » du problème « plutôt que d’être distrait par le symptôme« . Remerciant encore Meghan Markle pour son oreille attentive, le prince a déploré l’attitude de ceux qui « ont peur d’être les destinataires de cette conversation [d’une personne suicidaire] parce qu’ils n’ont pas l’impression de disposer des bons outils pour donner les bons conseils« . Le premier pas, assure-t-il, reste encore d’écouter, et de dire que vous êtes là.
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