Le braqueur de Kim K. raconte tout et choque en direct

Quatre ans après le braquage de Kim Kardashian à Paris, Yunice Abbas, un des principaux suspects, a publié un livre retraçant la nuit de ce "casse du siècle"… Le cambrioleur (en liberté) a témoigné à visage découvert dans plusieurs émissions télévisées. Chez Ruquier comme chez Hanouna, le gangster a dérangé…

Il a ensuite révélé qu’il ne s’était jamais retrouvé en face de la vedette américaine: « Je ne suis pas monté, je ne l’ai pas braqué elle, je ne l’ai pas attaqué directement. Je suis resté en bas pour monter la garde. Mais de ce que j’ai su juste après, elle n’a jamais été allongée dans la baignoire » .

Sous le feu des critiques après ce premier passage, le « gangster », comme il s’est lui même surnommé, a finalement tenu à s’excuser auprès de sa victime et a reconnu avoir fait « une grosse connerie«  sur le plateau de Touche pas à Mon Poste le 8 février.

Prison et impôts sur le butin

Convié dans Le Debrief de Non Stop le 9 février, sur Non Stop People, le « papy braqueur » a cette fois-ci évoqué sa peine de prison et le butin dérobé. Arrêté après le vol, Yunice Abbas a passé 22 mois en détention provisoire avant d’être relâché pour des problèmes de santé.

Il attend désormais d’être jugé.

Sa condamnation? « C’est difficile à dire, parce qu’avec la justice, on ne peut jamais prévoir, mais les peines en France sont longues, il n’y a pas de cadeaux », a-t-il lâché devant Mickael Dos Santos.

Concernant les bijoux, l’homme a dévoilé qu’ils étaient « dans la nature« . « Vous savez, ceux qui les rachètent, c’est ceux qui les vendent« , a-t-il continué.

S’il n’a pas gardé les précieux biens de Kim Kardashian, le suspect a tout de même pu obtenir une coquette somme de son crime. Avant que les impôts ne le rattrapent… : « Je n’ai pas eu le temps de toucher tout. Cette somme a été saisie par la justice et les impôts sont intervenus ».

Newsletter

Les informations recueillies sont destinées à CCM Benchmark Group pour vous assurer l’envoi de votre newsletter.

Elles seront également utilisées sous réserve des options souscrites, à des fins de ciblage publicitaire.

Vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification de vos données personnelles, ainsi que celui d’en demander l’effacement dans les limites prévues par la loi.

Vous pouvez également à tout moment revoir vos options en matière de ciblage. En savoir plus sur notre politique de confidentialité.

Voir un exemple

Et d’ajouter : « Je paie des impôts dessus. C’est la loi. On m’a saisi à peu près 70 000 euros, j’ai payé 19% de la redevance de l’impôt sur le revenu, 19 000 euros de plus pour la sanction, pour ne pas les avoir déclarés. Ça fait que je paie 40 000 euros que je suis en train de payer, par petit bout, mais je paie« .

Source: Lire L’Article Complet