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Lapsus coquins : Edouard Philippe hilare dans Quotidien
Invité sur le plateau de Quotidien ce mercredi 7 avril, c’est un Édouard Philippe détendu qui rit aux éclats lorsque Yann Barthès lui dévoile ses meilleurs lapsus de ses jours à Matignon, avant d’évoquer les couacs les plus drôles de la scène politique.
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Édouard Philippe
Il est sur tous les fronts. Mais à l’occasion de la sortie de son livre Impressions et lignes claires (éditions JC Lattès) – co-écrit avec son ami Gilles Boyer – Édouard Philippe s’accorde un temps de répit et de rires sur le plateau de Quotidien ce mercredi 7 avril. L’ancien locataire de Matignon a droit de revoir les lapsus les plus drôles et coquins de son ancien quotidien en tant que chef du gouvernement. Des couacs dont le maire du Havre a été victime à plusieurs reprises à l’Assemblée nationale et en conférence de presse, et il se remémore aussi dans son ouvrage.
Face à ces souvenirs, Édouard Philippe ne peut retenir son fou rire. « C’est horrible », glisse-t-il, cachant son visage de sa main. Vient ensuite ses lapsus favoris de la sphère politique. Car nombreux sont les puissants à la langue qui fourche. Il y retrouve celui de Rachida Dati (qui a confondu « inflation » et « fellation » dans Dimanche Plus, le 26 septembre 2010), ou encore celui de Brice Hortefeux au micro de RTL survenu en octobre 2010, entre autres nombreux défauts de prononciation. Une erreur de langage sort cependant du lot pour l’intéressé, à savoir, un hommage adressé à Georges Moustaki dont le nom a été malencontreusement écorché par Jack Lang, ministre de la Culture en 1992, transformé en « Georges Moustacul. » Hilare, Édouard Philippe est obligé de tourner le dos à l’écran se tenant face à lui afin de reprendre son calme.
Le lapsus en politique, tout un art ?#Quotidien pic.twitter.com/RA7E8UeF7B
La présidence sur ses gardes
Sans filtre, Édouard Philippe se confie aussi sur ses premiers pas à Matignon, en mai 2017, prenant la relève de Bernard Cazeneuve à la tête d’un nouveau gouvernement. Il se rappelle notamment d’un bureau vide. « Y’a rien. Quand je dis rien, c’est rien. Pas un papier, pas un dossier, y’a rien », se rappelle-t-il. « C’est étonnant car la transmission du pouvoir en France, c’est comme ça. Quand on arrive, il n’y a pas de dossiers pour son successeur, ça n’existe pas. » Mais si cette apparition cocasse sur l’antenne de TMC pourrait bien faire croître sa cote de popularité, le juppéiste pousse l’entourage du président de la République à rester sur ses gardes, celui-ci redoutant une mauvaise surprise à l’approche du scrutin de 2022.
Crédits photos : Capture TMC
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