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Julien Bert : son ex Hilona Gos le fait condamner à deux ans de prison
Ce jeudi 14 décembre 2023, se tenait le procès opposant Hilona Gos et Julien Bert, pour violences conjugales et abus de faiblesse. L’ancien candidat des "Princes de l’Amour" a été condamné à une peine de deux ans de prison dont un an assorti d’un sursis probatoire.
En février 2023, Hilona Gos publiait sur YouTube, une longue vidéo dans laquelle elle se confiait sur sa relation toxique avec Julien Bert, violences, brimades, abus de faiblesse, escroquerie et autres méfaits, l’ancienne candidate de téléréalité dressait le portrait peu glorieux de son ancien compagnon. Durant près de 40 minutes, la jeune femme expliquait comment elle a été sous l’emprise psychologique du beau blond et ce, durant des années. Dans une seconde vidéo, elle révélait alors que Julien Bert lui doit de grosses sommes d’argent…
Ce jeudi 14 décembre 2023, se tenait au tribunal judiciaire d’Aix-en-Provence le procès en première instance opposant Hilona Gos et Julien Bert, pour violences conjugales. Quelques heures après l’audience, durant laquelle les deux influenceurs étaient présents avec leurs avocats respectifs, l’ancien candidat des Princes de l’Amour a été condamné à par le tribunal à une peine de deux ans de prison dont un an assorti d’un sursis probatoire. Comme on le découvre dans le journal Var Matin, Julien Bert a aussi été interdit de gérer une société pendant cinq ans et d’entrer en contact avec la plaignante. Une micro victoire pour Hilona Gos, actuellement enceinte de son premier enfant avec son nouveau compagnon Paul-André.
Julien Bert qui a toujours nié ces violences, a fait savoir par le biais de son avocat Maître Morgan Daudé-Maginot, qu’il a l’intention de faire appel. Pour moi la condamnation est disproportionnée et sévère dans la mesure où le tribunal a suivi les réquisitions du Parquet. « Nous avons l’impression d’avoir été un exemple car M. Bert est très médiatisé » a affirmé l’homme de loi. Et d’ajouter : « Mon client reste libre puisque nous sommes sur du sursis probatoire. Nous notons qu’à l’heure de la médiatisation des violences conjugales, il vaut mieux être un homme qu’une femme. Car lorsque M. Bert dépose plainte pour des faits de violence, celle-ci reste en suspens.”
ES.
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