Julie Andrieu a "perdu pied" : Sa mère, la maladie, son argent, ce qu’elle préfère…

Combien gagne Julie Andrieu pour ses émissions Les Carnets de Julie, sur France 3 ? Face à Jordan De Luxe, la critique gastronomique a dévoilé son salaire et comment elle le dépensait. Franche et touchante, elle s’est exprimée sur un changement de vie et a raconté l’accompagnement difficile de sa mère, décédée en 2016.

Une publication partagée par Julie Andrieu, Profil Officiel (@julieandrieu.officiel)

Quant à son salaire, il n’est pas moins avantageux: « Il y a la partie auteur, la partie production, parce que je suis productrice, et il y a la partie salaire. C’est 4 000 euros par émission. C’est un très beau salaire. Je considère que j’ai beaucoup de chance« .

L’animatrice a également révélé qu’elle était davantage « cigale » que « fourmi » avec son argent: « Le sac Chanel, je m’en fous. Je suis très mal à l’aise sur l’avenue Montaigne, j’ose à peine monter sur les trottoirs, mais en revanche je vais acheter un tas de plantes pour mon jardin« .

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Julie Andrieu, face à la mort de sa mère

Dans L’Instant De Luxe, Julie Andrieu a également évoqué une période plus sombre de sa vie. En 2016, elle a perdu sa mère, Nicole Courcel, décédée de suites d’une maladie neurodégénérative « très compliquée« . 

Avant sa mort, Julie Andrieu a tenté d’être, autant que possible, près de sa mère. « J’ai un peu perdu pied à un moment parce qu’il a fallu concilier tout ça. J’ai choisi de la garder à la maison, chez elle, donc c’est lourd. Mais je ne regrette absolument pas ce choix. J’ai accompagné ma mère jusqu’à ses derniers instants, j’ai essayé d’élever mes enfants et d’être présente, de continuer de faire mon boulot« , a-t-elle expliqué.

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« J’ai eu peur pour mes enfants »

Et d’ajouter: « Je me suis dit que j’avais eu bien raison de ne pas l’avoir mis dans une maison de retraite. Je l’ai fait pendant deux mois parce qu’à un moment c’est insurmontable, quand on est face au danger, j’ai eu peur pour mes enfants car elle avait perdu la tête (…) Elle avait perdu toute autonomie à la fin et la parole (…) Je l’ai donc mise dans une maison en me disant: ‘Il faut que je fasse quelque chose, sinon je vais couler‘ ».

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La mort de sa mère a finalement été « une libération« . « Beaucoup de gens qui sont passés par là à la suite de longues maladies où on voit l’une des personnes qui vous est le plus proche souffrir, non, moi je ne suis pas accrochée à la vie à tout prix. La mort fait partie de la vie« , a-t-elle asséné.

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