Jean-Pierre Pernaut : ses surprenantes confidences sur sa scolarité

Pas besoin d’avoir brillé à l’école pour devenir une icône du journalisme français : Jean-Pierre Pernaut, présentateur inoubliable du 13H, l’a bien prouvé. Comme il le raconte dans l’émission d’Anne Roumanoff Ça fait du bien de ce mardi 16 février, sa scolarité ne s’est pas vraiment passée comme on l’imaginerait…

  • Jean-Pierre Pernaut

Cette histoire va redonner de l’espoir à tous ceux qui ont des difficultés à l’école : la scolarité de Jean-Pierre Pernaut, icône du 13H de TF1 pendant des années, n’a pas été de tout repos… Comme il l’a raconté dans l’émission d’Anne Roumanoff sur Europe 1 Ça fait du bien mardi 16 février 2021. « À l’école, ce n’était pas terrible Jean-Pierre Pernaut… Mais vraiment pas ! » remarque alors Anne Roumanoff. Le mari de Nathalie Marquay, qui a eu une belle surprise lors de la Saint-Valentin cette année, confirme : « Oui, c’est vrai… Comment vous savez ça ? Ah oui, je l’ai écrit dans le livre ! » s’exclame-t-il avec un rire. « Vous avez redoublé combien de classes, Jean-Pierre ? s’enquiert Anne Rounanoff. La sixième ? La troisième ? » Le journaliste lève alors le mystère : « J’ai redoublé la sixième, j’ai redoublé la seconde, non pas la troisième ça s’est passé les doigts dans le nez. Et après, j’ai redoublé la terminale aussi… »

Trois tentatives de passer le bac !

Jean-Pierre Pernaut ne s’est pas arrêté là malgré deux échecs au bac : « En désespoir de cause, je suis allé faire mon service militaire pour le passer une troisième fois et je l’ai raté une nouvelle fois ! » En effet, Jean-Pierre Pernaut n’a jamais eu son bac, mais n’en a aucune honte, il en a déjà parlé plusieurs fois. « Vous n’avez pas le bac ? » s’étonne l’humoriste. « Non !  » confirme-t-il, mais sa fille, Lou, qui a fêté ses 18 ans lors du confinement, fait sa fierté puisqu’elle a eu le sien, et avec mention. Heureusement, ses échecs n’ont pas terni sa passion pour le journalisme, qu’il avait depuis ses 13 ans et son stage au Courrier Picard, mais aussi grâce à la revue locale qu’il tenait avec les autres enfants du village et un de ses instituteurs. Il a ainsi pu passer le concours de l’École supérieure de journalisme de Lille, qui, à l’époque, acceptait encore les non-bacheliers s’ils avaient déjà fait leur service militaire.

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