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"Je vis l'enfer depuis 50 ans…", Michel Sardou anéanti par cette angoisse qui le poursuit depuis toujours
S’il semble sûr de lui et bien dans ses baskets, Michel Sardou est en fait tiraillé depuis toujours dans un combat sans fin…
Ce jeudi 6 mai sortira son autobiographie, « Je ne suis pas mort… je dors ! ». Un titre lourd de sens, dont il est venu parler ce dimanche 2 mai face aux caméras de Sept à Huit sur TF1.
Connu pour son franc-parler, Michel Sardou n’a pas hésité à évoquer ses moments difficiles en toute honnêteté, en commençant par répondre à ceux qui lui veulent du mal depuis plusieurs années, ses détracteurs, « Si j’étais le monstre qu’on montrait du doigt, je ne pense pas que j’aurais duré 50 ans, c’est énorme 50 ans, et que les gens m’auraient suivi ». Voilà une mise au point simple et efficace.
Très discret lorsqu’il était jeune, pour devenir le chanteur connu qu’il est aujourd’hui, Michel Sardou a rapidement dû sortir de sa zone de confort. Une mission non des plus facile, pour laquelle ce dernier a en fait commencé par inventer un personnage afin de surmonter cette angoisse, « Je suis timide, je suis réservé et là je suis obligé de me montrer. Je suis d’un coup en gros plan ou lorsque je suis sur scène, il y a des milliers d’éclairages sur moi. Je suis tout seul devant 25.000 personnes. Il fallait que je joue un personnage parce que celui qui était à l’intérieur de ce personnage n’aimait pas ça du tout ». D’autant plus qu’à l’époque, Michel Sardou était très complexé par son image, et la peur de prendre du poids, qualifiant même cette angoisse de « truc horrible » depuis qu’il est tout petit…
« C’est épouvantable pour moi »
S’il a longtemps lutté contre cette prise de poids, il évoque aujourd’hui un véritable enfer, « Je suis perpétuellement au régime. Je vis l’enfer depuis 50 ans« . D’autant plus que Michel Sardou est un bon vivant et un vrai français qui adore la gastronomie, « C’est épouvantable pour moi qui adore bien manger, faire la cuisine. Alors maintenant, je fais la cuisine mais pour les autres« .
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La rédaction
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