Accueil » Célébrités »
« Je pense souvent à lui » : Faustine Bollaert revient sur sa rencontre décisive avec Jean-Luc Delarue
Animatrice appréciée des téléspectateurs de Ça commence aujourd’hui, Faustine Bollaert a vu sa carrière chamboulée par un grand homme de télévision : le regretté Jean-Luc Delarue. Elle se confie sur cette rencontre décisive dans les colonnes de Télécâble Sat.
Faustine Bollaert
Jean-Luc Delarue
Si devait s’ériger un panthéon regroupant les grandes accoucheuses de confidences, Faustine Bollaert y aurait sa place aux côtés de Mireille Dumas, Sophie Davant ou encore Evelyne Thomas. Voilà bientôt quatre ans que la pétillante animatrice reçoit des invités aux histoires pas communes dans son émission Ça commence aujourd’hui, en début d’après-midi sur France 2. Et avec la bienveillance qui la caractérise, la Nordiste les écoute, les conseille, les console, les fait rire, se transformant en éponge à émotions pour ne pas laisser ses sentiments la submerger. Un défi pas des plus simples qui lui demande une certaine préparation. « Il faut se conditionner. Moi je sais que quand j’arrive dans mon émission, je suis dans une empathie totale avec mes invités mais avant et après je mets mon armure » a-t-elle déclaré au micro de Europe 1, ayant même recours à un psy pour rester performante dans cet exercice.
« Je ne l’oublierai jamais »
Et si la compagne de Maxime Chattam a gagné ses lettres de noblesse dans l’univers des programmes testimoniaux, elle le doit en partie à Jean-Luc Delarue, qui a été le premier à lui donner sa chance. Une gratitude dont elle a rappelé les origines dans Télécâble Sat, elle qui a rencontré son mentor à l’occasion de son mémoire de fin d’études. « Il a été très généreux avec moi. Je ne l’oublierai jamais. Aujourd’hui, je suis dans ses locaux, à Réservoir Prod, la société qu’il a créé et qui produit Ça commence aujourd’hui », se souvient l’animatrice, qui ne manque pas de lui rendre hommage sur les réseaux sociaux. « J’ai gardé dans mon bureau la K7 audio de notre rencontre. Ses équipes m’ont confié un stylo qui lui a appartenu. Professionnellement, je l’admirais énormément. Je pense souvent à lui. » Une telle reconnaissance, ça ne se discute pas !
Source: Lire L’Article Complet