"Je l’aime comme un fou" : les rares confidences de Tahar Rahim sur son couple avec Leïla Bekhti

L’acteur de 39 ans s’est exceptionnellement confié sur son union avec Leïla Bekhti, ainsi que sur leur famille, dans une interview accordée au magazine ELLE, parue le vendredi 12 février.

Il est à l’affiche de The Mauritanian, sorti le 12 février aux États-Unis, aux côtés de Jodie Foster, Shailene Woodley et Benedict Cumberbatch. À cette occasion, Tahar Rahim a accordé une interview fleuve au magazine ELLE. Très discret d’habitude, il s’y autorise quelques rares confidences sur sa famille, et plus particulièrement sur son épouse Leïla Bekhti. Les deux acteurs, qui vivent ensemble depuis près de douze ans, se sont rencontrés en 2008, sur le tournage du film Un prophète. Et se sont très peu exprimés sur leur histoire d’amour depuis. «Elle aussi fait partie de celles qui ont posé un regard confiant sur moi ; je l’aime comme un fou, a-t-il déclaré. C’est ma femme, mon amour, ma meilleure amie.»

En vidéo, Leïla Bekthi parodie un tube de Céline Dion.

« Leïla est une immense actrice »

Tahar Rahim a également souligné le talent de celle qu’il a épousée en 2010 : «Dans un couple, que tu sois dans le cinoche ou pas, l’admiration est indispensable. Leïla est une immense actrice et une personne exceptionnelle.» Un sentiment réciproque : la comédienne a en effet salué la nomination de son époux aux Golden Globes dans un message enthousiaste, publié sur son compte Twitter le 3 février. «Maaaaaaaaaarc fallait que j’en lâche un !!!!! Bravooooooooo», a-t-elle écrit, en référence à son rôle (très expansif) d’Alexandra dans la série La Flamme.

Tahar Rahim a également évoqué le confinement de mars 2020, qui lui a permis d’apprécier pleinement sa vie de famille. «Là, pour la première fois, j’ai découvert ce qu’était de vivre pleinement le temps présent et j’ai pu rattraper le temps perdu avec mes enfants, a-t-il poursuivi. Ils sont ma principale source d’inspiration aujourd’hui. Parce qu’un enfant, ça ne joue jamais. Ça ne fabrique pas.» Et le trentenaire de conclure : «J’attends avec impatience le jour où ils pourront voir mes films. Bon, coup de bol, j’ai joué un père Noël (dans Le Père Noël, d’Alexandre Coffre, en 2014 – ndlr), donc celui-là, je pourrai le leur montrer avant leurs 20 ans !»

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