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« J’ai envie qu’il prenne son temps » : Audrey Fleurot se confie sur l’éducation qu’elle donne à son fils Lou
Dans un long entretien accordé à Paris Match en kiosque ce jeudi 29 avril, Audrey Fleurot s’est confiée sur son fils Lou, 5 ans, et l’éducation qu’elle lui donne. Pour l’actrice de 43 ans, l’important est de le rendre débrouillard et autonome, sans le forcer à faire quoi que ce soit.
Audrey Fleurot
Audrey Fleurot a déjà derrière elle un long passé en tant que comédienne. Elle a notamment joué, il y a de nombreuses années, dans Kaamelott d’Alexandre Astier où elle incarnait La Dame du lac. La comédienne âgée de 43 ans explique pourtant que tout n’a pas été simple pour elle, notamment en raison de son physique bien au-delà des codes de référence ! « Quand vous démarrez et que vous renvoyez une image assez forte parce que vous êtes grande, rousse et avec de gros seins, ce n’est pas toujours simple« , confiait-elle à Télé Star début avril. Mais la jolie rousse a su faire de cette différence une force et s’imposer dans des rôles qui lui ont accordé toute la faveur du public. L’actrice est actuellement à l’affiche de HPI, une nouvelle série qui sera diffusée ce jeudi 29 avril sur TF1 où elle incarne une femme de ménage énergique et sans gêne, diagnostiquée HPI pour Haut Potentiel Intellectuel.
Audrey Fleurot est également une maman et une belle-maman comblée. Elle élève aux côtés de son compagnon, le réalisateur Djibril Glissant, leur fils Lou 5 ans, et les deux filles de son chéri, que le couple a en garde alternée. Dans une interview pour Paris Match, la pétulante actrice a dévoilé quelques principes éducatifs qu’elle applique avec son fils.
Apprendre à s’ennuyer
« Etant petite, je me suis ennuyée et je sais à quel point l’ennui permet le rêve et nourrit la créativité. J’essaie de leur inculquer ça. Pourquoi les stimuler sans cesse, les rendre performants ? Moi ça m’angoisse. Je ne force pas mon fils à suivre des cours d’anglais ou de piano. J’ai envie qu’il prenne son temps« , a-t-elle expliquer ce jeudi 29 avril dans Paris Match. Pas de sur-stimulation donc, et de l’apprentissage concret, au quotidien. « Ce qui est certain, c’est qu’il saura laver son linge et se faire à manger seul !« , a-t-elle également dévoilé, en affirmant qu’elle lui donnait aussi éducation non genrée, dans cette société qui reste encore selon elle trop « misogyne ».
« Parce que son père l’emmène plus souvent à l’école, le moindre souci en classe est attribué au fait que je dois manquer à mon fils« , a-t-elle déploré. Il y a encore beaucoup à faire pour que les mentalités évoluent sur la question des représentations. Audrey Fleurot compte bien éduquer son fils pour qu’il participe à ce changement des mentalités !
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