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Isabelle Adjani : ces deux émissions très connues dont elle est fan
Interviewée par Madame Figarp, Isabelle Adjani a révélé le nom des deux émissions télévisées qu’elle adore regarder pendant son temps libre.
La crise sanitaire liée au Covid-19 a frappé de plein fouet le monde de la culture et les artistes, quels qu’ils soient. La plupart de ces derniers sont donc contraints de mettre leur carrière professionnelle entre parenthèse depuis plusieurs mois, le temps que la pandémie se calme. Aux premières loges, on trouve les acteurs, qui n’ont malheureusement pas tous la chance d’avoir repris le chemin des tournages. La comédienne Isabelle Adjani, de son côté, a accepté de faire la couverture du numéro du 9 avril de Madame Figaro.
L’occasion pour elle de parler de son quotidien compliqué à cause des répercussions du coronavirus et de la manière dont elle s’occupe. En toute honnêteté, la star du film L’été meurtrier a révélé ne "pas avoir fait grand-chose pendant le confinement", pour chasser l’ennui. Comme une majorité de personnes, l’actrice a "lu et regardé la télé, sans désir, sans conviction". Toutefois, elle n’a pas manqué un épisode de The Voice sur TF1 ni de l’émission Silence, ça pousse !, diffusée sur France 5. Isabelle Adjani a même affirmé être "fan" de ces deux programmes. Afin d’éviter de se tourner les pouces, la comédienne de 65 ans a également enchaîné les séries, "les géniales comme les nulles…" Malgré tout, la période actuelle reste très compliqué pour elle.
"C’est l’enfer pour tous"
"Le confinement, pour moi, ce n’est pas du temps libre, c’est du temps mort", a précisé Isabelle Adjani, qui assure avec poésie à nos confrères que "l’humeur est baudelairienne, entre spleen et idéal, entre infusions de fleurs du mal et bulles de champagne…" Dépitée, la star a souligné que "pour le moment, c’est l’enfer pour tous". "Entre confinements, couvre-feux et certitude que le monde d’après ne sera pas meilleur que le monde d’avant", a ajouté celle qui se sent quand même "chanceuse" puisqu’elle habite "au bord de la mer" au Portugal et "peut se déplacer" sans difficulté ni restriction. "Malgré ça, rien n’empêche le ciel bas et lourd de cette épidémie de peser comme un couvercle au-dessus de nos têtes", a-t-elle conclu avec mélancolie.
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