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INTERVIEWS EXCLUSIVES – 23 célébrités se confient pour les 20 ans de Public !
En vingt ans, notre magazine vous a raconté la vie, la destinée, les bonheurs et les malheurs de centaines de stars À l’occasion de notre anniversaire, nous avons contacté nombre de ceux qui ont compté dans l’existence du journal. Que faisaient-ils il y a vingt ans ? Quels étaient leurs rêves ? Les ont-ils réalisés ? Quelle a été la relation entre Public et eux ? Nous nous replongeons avec eux dans le passé pour une savoureuse séquence de nostalgie.
LOANA
“J’adore avoir 12 ans d’âge mental”
©Bestimage – “Public a toujours été bienveillant avec moi, ça me touche »
“Public a été lancé deux ans après le Loft, qui a marqué ma vie à jamais. J’ai ensuite défilé pour Jean Paul Gaultier, sorti un livre, un clip, dessiné une ligne pour La Halle. Je me rappelle aussi avoir fait un calendrier pour FHM, fait un défilé au salon du Chocolat dans une robe en macarons, être allée aux NRJ Music Awards, avoir animé une émission avec Stéphane Rotenberg, monté ma société Loana Production International… Bref, j’avais déjà réalisé mes rêves à l’époque. Que pouvais-je demander de plus à ma vie ? Encore aujourd’hui, j’ai l’impression que j’ai beaucoup moins que 20 ans ! J’adore avoir 12 ans d’âge mental. Je pense que tout le monde est gentil, même si je m’en suis pris plein la tête ! Tu m’amènes à Disneyland, tu te crois avec une gamine de 5 ans…” (Rires.)
Public et moi
“Je n’ai qu’une chose à dire : merci ! Il y a des moments où je n’ai pas été bien et vous auriez pu m’enfoncer. Mais vous m’avez toujours protégée. Merci à Public d’avoir été bienveillant ! Ça me touche.”
BILLY CRAWFORD
“Les gens chantent mes chansons”
©Bestimage
« En 2003, j’étais en tournée européenne car mon titre Trackin était un hit en Europe et ma maison de disque me faisait voyager pour la promouvoir. Mon rêve était de faire ce que je faisais avec l’envie que mes succès restent dans la mémoire du public. Et c’est gagné je crois, car aujourd’hui, dans mes shows, les gens chantent mes chansons. Seul souci, mon corps, qui me rappelle que mes 20 ans sont loin. »
ÈVE ANGELI
“J’ai gardé une âme d’enfant”
©Bestimage
“Il y a vingt ans, c’était dingue, je sortais d’un gros succès musical avec six disques d’or, le NRJ Music Awards de la révélation musicale et 2 millions d’exemplaires vendus. Et je m’apprêtais à devenir un personnage incontournable de la télévision en participant à la toute première édition de La Ferme célébrités, en 2004, dont j’ai été finaliste… Moi qui souhaitais être célèbre et reconnue pour mes talents artistiques, c’était déjà réussi. Depuis, mon succès musical s’est confirmé, j’ai été chroniqueuse radio dans la Bande à Ruquier, comédienne de théâtre et la femme-enfant que je pouvais être a pu éclore grâce à la maternité et un mariage heureux avec l’élu de mon cœur. Bref, la vie m’a comblée de tout ce que je désirais à force de patience et de résilience. Par ailleurs, mon éternel optimisme et ma faculté de m’émerveiller de tout me permettent de rester jeune, de même que mon amour pour les animaux car ils ont l’authenticité et la magie propres aux enfants. Gardons notre âme de gosse éternellement. C’est ça le secret de la jeunesse.”
ALBAN BARTOLI
“Je suis resté un ado”
“J’ai pu révéler mon homosexualité dans Public”
“Il y a vingt ans, j’avais 13 ans et je devais être en 4e à chanter dans la cour comme un boloss, avec mon harem de copines autour de moi et des mecs qui se foutaient de ma gueule. À l’époque, je brûlais d’être chanteur ou d’animer des émissions. Je crois qu’on est bon de ce côté-là, mais j’ai encore des rêves à réaliser : j’aimerais savoir jouer de la guitare comme Jimi Hendrix, avoir les abdos de Beckham et me taper le chanteur Maluma.” “Au cours des 20 années qui viennent de s’écouler, j’ai été très marqué par les attentats du Bataclan et la crise du Covid.” “Quant à avoir toujours 20 ans. Oui, lorsque je dois gérer des papiers, je suis aussi doué qu’un adolescent. J’ai tendance à appeler ma mère dès que j’ai un problème administratif.”
Public et moi
“C’est une belle histoire d’amour depuis dix ans maintenant. Grâce à vous j’ai pu révéler mon homosexualité publiquement pour la première fois. Un grand pas pour moi dans ma vie personnelle et professionnelle.”
ÉLISA TOVATI
“J’ai gardé le feu de mes 20 ans”
©ABACA
“Il y a vingt ans pile (enfin vingt et un ans, mais on lui pardonne, ndlr), je sortais mon premier album, et je me baladais en France pour promouvoir La vérité si je mens 2 (Et ça, c’était en 2001, ndlr)… Et à peu près au même moment, je rencontrais l’amour. Puis, je me suis mariée, et j’ai fait deux merveilleux garçons. Mais j’ai aussi perdu des gens que j’aimais très fort. Aujourd’hui, j’estime avoir toujours 20 ans, car je me rends compte que j’ai le même feu, le même désir, la même envie, la même boulimie de vie…”
MAURICE BARTHÉLEMY
“Ma plus grande réussite ? Avoir gardé mes potes !”
©Bestimage
“En 2003, on tournait avec les Robins le film RRRrrrr. Le plus gros échec de notre équipe qui est devenu par la suite le plus grand succès. On rêvait à cette époque de chacun faire notre route. Après huit ans de vie de troupe, on avait envie de développer nos propres projets individuels. Et le rêve s’est réalisé. Chacun a évolué selon ses souhaits. Et surtout, aujourd’hui on est aussi potes qu’avant. Et ça, c’est la plus grande des réussites.
BENJAMIN CASTALDI
“Je suis allé au bout de mes folies”
©Bestimage
“Il y a vingt ans, on devait être en plein Loft 2, (c’était il y a 21 ans, mais quand on aime… ndlr) avec l’inoubliable Afida Turner, qui se surnommait alors Lesly. Je vivais de grands moments et ma carrière était déjà bien lancée et depuis, ça ne s’est pas arrêté. Après le Loft, il y a eu les années Secret Story puis de belles émissions comme QI Le Grand Test ou 1 contre 100. Et bien sûr, plus récemment, les années TPMP. Vous fêtez vos 20 ans ? Moi, j’en suis à trente ans de carrière… D’un point de vue perso, je ne me suis pas ennuyé non plus. J’ai quand même divorcé trois fois. Ce sont des choses qu’on n’oublie pas. Et puis il y a eu les enfants. L’arrivée de mon dernier fils notamment, a été très forte. Il est né à la fin du premier confinement qui a bousculé tant de gens. Ce petit me fait avoir 20 ans encore aujourd’hui. Et je dois avouer que mes 6 à 8 heures de sport hebdomadaires aussi. J’en faisais moins quand j’étais plus jeune. Et quand je me regarde dans la glace, je suis heureux…” Si je devais refaire l’histoire ? “Je ferais tout pareil. Je suis toujours allé au bout de mes passions, de mes rêves, de mes folies, même si ça a pu me causer du tort. J’ai eu la vie que je voulais avoir.”
Public et moi
“J’ai eu les honneurs de la presse people pendant des années. Maintenant, place aux jeunes. Mais Public ne m’a jamais fait de mal. Pour moi, on ne peut pas faire ce métier et ne rien vouloir donner au public justement. Donner un peu de sa vie privée, ça fait partie du jeu, même si ça ne tombe pas toujours au bon moment.” (Rires.)
DAMIEN SARGUE
“Je ne pense pas devenir un vieux con”
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“Il y a vingt ans, j’étais sur scène et je terminais ma première aventure de Roméo et Juliette. J’avais 22 ans, j’habitais à Paris et je commençais à travailler sur mon unique album éponyme, Damien Sargue. J’avais des rêves simples : être heureux en couple, avoir des enfants dans un bel endroit où je me sentirais bien. J’ai la joie immense de les avoir accomplis. J’ai une femme, une fille et une super vie dans le Sud-Ouest. Aujourd’hui, je ne sais pas si j’ai toujours 20 ans, mais avec mon métier, qui me permet de voyager et de voir le monde, j’ai encore l’impression de découvrir de nouvelles choses. Je ne pense pas devenir un vieux con.”
FABIENNE CARAT
“Un rôle dingue au cinéma”
©Bestimage
“Il y a vingt ans, j’étais en 3e année à l’école de théâtre et j’achetais mon premier petit appart’. Je rêvais de faire du cinéma, tourner, faire du théâtre, chanter, danser… Et on peut dire que c’est en partie réalisé car je travaille beaucoup. Mais j’ai toujours envie de jouer une pièce de boulevard dans un théâtre parisien et aussi d’interpréter un rôle dingue au cinéma. Avec le temps, j’estime ne pas avoir vraiment changé, J’ai toujours une sorte de candeur en moi.”
LAURIE CHOLEWA
“Je ne suis pas devenue avocate mais…”
©Bestimage – « J’aime toujours chanter du Céline Dion devant ma glace”
“Il y a vingt ans, je venais d’obtenir ma maîtrise de droit à La Sorbonne et je commençais la télé sur Ciné Cinéma, mais mon rêve initial était d’être une avocate réputée donc je ne l’ai pas réalisé. Mais j’en ai accompli d’autres… J’estime avoir toujours 20 ans car j’aime toujours autant les ambiances entre copines, chanter sur du Céline Dion, danser devant ma glace, ou encore rêver devant Dirty Dancing !” LAURIE CHOLEWA “Je ne suis pas devenue avocate mais…” “Il y a vingt ans, je venais d’obtenir ma maîtrise de droit à La Sorbonne et je commençais la télé sur Ciné Cinéma, mais mon rêve initial était d’être une avocate réputée donc je ne l’ai pas réalisé. Mais j’en ai accompli d’autres… J’estime avoir toujours 20 ans car j’aime toujours autant les ambiances entre copines, chanter sur du Céline Dion, danser devant ma glace, ou encore rêver devant Dirty Dancing !”
PAGA
“J’ai la libido de mes 20 ans !”
“Quand Public a été lancé, moi, je faisais du judo à haut niveau, j’étais en train de batailler pour rentrer en seconde générale et je passais ma conduite accompagnée… À l’époque, je rêvais d’être David Guetta ! Je voulais donner du bonheur aux gens. Et je n’ai pas changé. Je ne vis pas caché, quand on me reconnaît dans la rue je suis content, toujours heureux de pouvoir faire plaisir aux autres. Deux événements ont transformé ma vie depuis : la naissance de ma petite Giorgia et bien sûr Les Marseillais qui ont marqué toute une génération à la télévision. Quant à mon rêve, je ne suis pas David Guetta, mais je suis bel et bien devenu DJ ! Et grâce à ma libido trop belle et toujours présente, mon goût pour la fête et la vie, je peux me targuer d’avoir encore 20 ans, même à 35…”
MAGALI BERDAH
“J’ai capté un vide, je m’y suis engouffrée”
©Bestimage
“Il y a vingt ans, je finissais des études de droit et je me lançais dans les assurances. J’étais entrepreneuse, j’avais envie de réussir ma vie, d’être quelqu’un. Je pense pouvoir dire que c’est gagné… Tant d’un point de vue personnel, avec la naissance de mes trois enfants, qu’avec la création de mon autre bébé, Shauna Events, en 2017. À l’époque, j’ai capté un vide et je m’y suis engouffrée. À force de travail, de persévérance et de résilience, j’ai réussi. Aujourd’hui, après les difficultés que je viens de traverser, je rêve de rétablir mes vérités et de vivre en paix.”
ANTHONY DUPRAY
“Mon corps n’a plus 20 ans, ma tête, si !”
©Olivier MARTINO
“Il y a vingt ans, je tournais mes deux premiers épisodes de Navarro sur TF1 avec Roger Hanin et Filip Nikolic. Un beau souvenir. Et tellement d’autres depuis, même si je ne pensais pas traverser une pandémie. Cela ne m’a pas empêché de réaliser mes rêves : être comédien. Alors certes, mon corps n’a plus 20 ans. Mais mon esprit, oui, toujours !”
MALIKA MÉNARD
“Après le strass et les paillettes, un réalignement…”
“Vous m’avez offert de beaux moments dans vos pages mode”
“Il y a vingt ans, je venais de passer mon brevet des collèges. Et je savais déjà que je voulais être journaliste. Écrire et communiquer, c’était mon truc. Et alors que j’étais un peu fofolle en 4e ou 5e, en rentrant en seconde, je suis devenue super sérieuse. Mon but : avoir des bonnes notes et mon bac. Mon père, je ne le voyais pas beaucoup. Et ma mère travaillait énormément. J’ai trouvé seule la motivation pour avancer. Et puis mon premier amour est parti jouer au foot un peu loin, je n’ai pas pu le suivre, je m’ennuyais un peu et j’ai tenté l’aventure de Miss Calvados. Vous connaissez en partie la suite. L’élection à Miss France, la plus belle émotion de ma vie, un magnifique saut dans l’inconnu et la concrétisation de mes rêves. L’obtention de mon diplôme d’école de journalisme et puis l’écriture, mais aussi la possibilité de faire une matinale radio, des podcasts et plus récemment notamment grâce à la sortie de mon livre Fuck les complexes, un retour vers mes centres d’intérêt : les questions de psychologie, de sororité et de bien-être. Après les strass et les paillettes de la vingtaine, c’est le réalignement de la trentaine. Et puis personnellement, il y a cette épreuve terrible que je traverse avec mon père, atteint depuis cinq ans par l’atroce maladie de Charcot, expérience qui nous a fait nous retrouver, notamment autour d’un très beau documentaire Invincible ŽtŽ. En vingt ans, j’ai changé : j’étais timide je vais mieux, même si je reste très sensible, voire un peu écorchée.”
Public et moi
“Un mauvais souvenir, nos retrouvailles devant des juges lorsque vous êtes venus voir d’un peu trop près ma vie privée, compensé heureusement par de beaux moments que vous m’avez offert dans les pages mode du magazine.”
GÉRALDINE MAILLET
“Ça s’est super mal passé chez Ardisson”
©Bestimage
“Il y a vingt ans, je me souviens d’une époque de canicule en France : je dormais sur le parquet tellement j’avais chaud ! J’ai passé l’été à Paris à regarder le Tour de France et les championnats du monde d’athlétisme. Étant très enceinte de ma fille, c’est le seul truc que je pouvais faire ! Elle est arrivée fin août. Et pile au même moment, ça a été la sortie de mon roman Prime Time, sur la télévision. Ma première émission de télé pour la promo, Tout le monde en parle de Thierry Ardisson, c’était dix jours après la naissance de ma fille. J’étais toute pensive, chamboulée et ça s’est super mal passé. Je ne suis pas près de l’oublier. À l’époque, je voulais continuer à écrire des livres, ce que j’ai fait. Je rêvais de réaliser des films, des courts-métrages ou des clips, ce que j’ai fait aussi. Je souhaitais être une bonne maman, j’espère que je le suis. Avoir un enfant maintient jeune… et vieux en même temps ! C’est paradoxal. À la fois, vous êtes obligé de rester vif et alerte, et, vous voyez le temps qui passe. C’est le temps qui passe et celui qui résiste !”
BENOÎT DUBOIS
“Maintenant, je veux me marier !”
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“Laissez-moi me rappeler… Bah, je suis sûr qu’à l’époque, je devais être en train de négocier avec le CPE de mon collège pour venir en classe avec un crop top… (Rires.) Mais depuis, que de succès ! Mon diplôme de coiffeur, ma victoire à Secret Story, la naissance de mes neveux, l’achat de ma maison : je suis fier du chemin sans embûches que j’ai parcouru. Moi qui rêvais d’être connu, de briller et d’amuser la galerie, bingo ! Ne me reste plus qu’un souhait : me marier pour pouvoir vivre les prochaines années à deux et peut-être à trois pourquoi pas…
JEAN-PASCAL LACOSTE
“On était les Stones”
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“En 2003, on venait de finir la tournée de la Star Ac. Je commençais l’animation télé à TF1. J’étais dans le boom de la Star Ac qui durera cinq bonnes années. On était dans l’euphorie… On était les Rolling Stones. Moi, au départ, je n’avais pas de plan de carrière, je vivais au jour le jour. J’ai toujours été comme ça. Mais en vérité, je suis un grand inquiet. Après la Star Ac, j’ai un peu déconné : bringues, changement de bagnole tous les six mois. J’aurais dû écouter mon papa et acheter deux ou trois apparts et je serais richissime au Pays basque. Mais on apprend de ses erreurs. Et si c’était à refaire, je changerais rien. En vingt ans, j’ai vécu professionnellement des choses incroyables, mais c’est surtout la paternité que je retiens. Ma rencontre avec Delphine, nos trois enfants : profiter de sa famille, c’est le plus grand luxe au monde. J’ai la chance de pouvoir emmener mes gosses à l’école et faire le marché. C’est la plus belle des richesses. Niveau pro, quand il y a eu un coup de mou, j’ai eu la chance que Cyril Hanouna me remette le pied à l’étrier. À la télé, les gens qui tiennent leurs promesses ne sont pas nombreux : Nikos, Cyril Hanouna, Alexia Laroche-Joubert, le reste, c’est du flan. Combien de fois ai-je expérimenté ce proverbe : ‘Les paroles de la nuit ne voient jamais le jour.’ Aujourd’hui, j’estime avoir toujours 20 ans, je ne veux pas grandir. C’est mon fonds de commerce. C’est pour ça que j’utilise beaucoup de crème de nuit. C’est un vrai métier, d’avoir toujours 20 ans.”
Public et moi
“C’est flatteur quand des personnes s’intéressent à toi. C’est normal de partager. Surtout quand on fait des émissions populaires, qu’on entre dans la vie des gens. C’est un partage qui me paraît logique même s’il faut garder une part de son jardin secret.”
RICHARD ORLINSKI
“J’ai exposé sur les Champs-Élysées !”
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“Il y a vingt ans, je quittais tout pour me lancer le plus grand défi de ma vie et réaliser un rêve d’enfant : devenir un artiste. Il s’est concrétisé au-delà de mes espérances : je suis aujourd’hui un artiste pluridisciplinaire, sculpteur, DJ et je fais également du stand-up. Et entretemps, j’ai eu l’immense chance d’exposer sur la plus belle avenue du monde, les ChampsÉlysées. Cela ne m’empêche pas de fourmiller encore de projets. Je viens d’inaugurer une exposition d’œuvres monumentales dans la ville de Nice qui se tiendra jusqu’à fin septembre, je me produis également tout l’été en tant que DJ avec un show unique qui mixe art et musique dans de nombreux festivals, j’aime cette vie à cent à l’heure !”
Public et moi
“J’ai plein de belles anecdotes, notamment avec Leslie Benaroch (rédactrice à Public, ndlr), que je connais depuis un moment maintenant. Je crois que notre première interview remonte à 2017 à l’occasion de la sortie de mon livre Pourquoi j’ai cassé les codes. J’espère que l’on va continuer à partager encore plein de belles anecdotes pour les vingt prochaines années.”
CÉCILIA CARA
“Je vivais déjà un rêve éveillé”
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“Il y a vingt ans, on terminait Roméo & Juliette en France, qui avait déjà duré plus de deux ans. Je vivais un rêve. Et ça allait continuer : être sur scène, tourner des films, voyager, faire un album aux couleurs latines, Paris-Bogota, que j’ai eu en tête pendant deux décennies avant de le concrétiser. Jusqu’à aujourd’hui cette tournée en Chine dans laquelle j’endosse de nouveau le costume de Juliette aux côtés de Damien. Évidemment le plus grand et bel événement de ces vingt dernières années, c’est la naissance de mon fils Célestin, en 2013. Sa venue au monde m’a permis de garder mes yeux et mon cœur d’enfant.”
KATRINA PATCHETT
“J’ai pu créer ma vie en France”
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“Il y a vingt ans, je quittais l’Australie pour vivre au Danemark pour ma carrière de danseuse, j’avais 16 ans. J’avais alors des rêves que je réalise pleinement aujourd’hui et ça, c’est fabuleux. Que de choses accomplies depuis ! En 2007, j’ai gagné le championnat de France de danses de salon avec Maxime Dereymez. Puis, j’ai remporté Danse avec les stars, en 2011, avec Matt Pokora. Et en 2017, je me suis mariée ! Ces vingt années m’ont apporté des expériences de malade et m’ont permis de créer ma petite vie ici en France. Malgré le temps passé, j’ai l’impression de rester une enfant, une pile électrique qui ne veut pas vieillir ! Même si je n’aimerais pas retourner à l’âge de 20 ans.”
Public et moi
“Public fait partie de ma vie depuis douze ans ! Mes premiers articles c’était en 2011 et ils ont toujours été très bienveillants ! J’ai pu vivre des choses incroyables grâce à votre magazine notamment dans les pages mode. Moi qui en suis passionnée, j’ai pu m’exprimer pleinement. Entre Public et moi c’est donc une grande histoire d’amour : merci Public et surtout bon anniversaire ! Et vivement les vingt prochaines années…”
MATTHIEU DELORMEAU
“Une virée en bateau avec Johnny !”
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“Il y a vingt ans, j’en avais 29. J’étais stagiaire dans la boîte de prod de Marc-Olivier Fogiel et payé au lance-pierre. Après ça, je me suis occupé d’une jeune Belge qui débarquait à Paris pour travailler chez M6 : Virginie Effira. J’écrivais ses textes pour ses primes. On bossait ensemble, on se faisait des soirées sushi. Je lui faisais découvrir Paris avec ma petite bagnole. C’était rigolo. C’est elle qui m’a branché sur le casting de Nous ne sommes pas des anges, avec Maïtena Biraben, sur Canal +. Et j’ai été pris. Pour moi il y a un truc inoubliable, c’est la première fois où tu te vois à l’antenne. Je me souviens que j’avais pris le quart d’un célèbre calmant avant… Et depuis ? Ça ne s’est jamais arrêté. Ça fait dix-huit ans que je suis en quotidienne et quasi en direct. Ce parcours m’a permis de vivre des choses incroyables, de me retrouver dans un dîner face à Alain Delon, qui m’a dit que j’étais beau, de faire une virée en bateau avec Johnny Hallyday, d’être félicité par Bruel, dont j’étais fan. Quand tu es jeune et que tu reçois des compliments d’un mec comme ça, c’est puissant. Et puis, il y a ma boîte de prod : une belle réussite pro depuis douze ans. J’avais deux rêves : devenir pilote de F1 et faire de la télé. J’en ai réalisé la moitié. Pas mal, non ? Aujourd’hui, j’ai la même énergie qu’à 20 ans, y a juste un bémol, niveau technologie, ça ne m’intéresse pas, et là, je suis largué.”
LAURENT MAISTRET
“Ma mère emportée par le Covid, c’était très dur”
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“J’avais 21 ans quand Public a été lancé. Moi, à l’époque, j’avais arrêté l’école, j’étais dans le mannequinat et je débutais dans le milieu de la salsa. Je vivais encore chez ma mère, mais je voyageais déjà beaucoup : New York, le Brésil. La nuit, je bossais souvent dans des boîtes. Je me souviens que je dansais pour la marque Havana : capoeira, hip-hop. Une vie d’artiste. J’ai toujours été fondamentalement attaché à ma liberté. J’ai horreur qu’on me donne des ordres. À cette même époque, j’étais aussi médiateur de quartier, c’était cool. Depuis ? Je retiens évidemment tous les Koh-Lanta, ma victoire dans Danse avec les stars en 2016 et, personnellement, le décès de ma mère, emportée par le Covid, qui a été un moment très difficile. Aujourd’hui, J’ai la même folie qu’hier, je vois les mêmes potes que quand j’avais 15 ans, je vis toujours au Kremlin-Bicêtre, ville où j’ai grandi. J’ai encore les mêmes passions, la musique, la danse, les voyages, le sport, les jeux vidéos. Bref, si l’on excepte le fait que je suis papa, et c’est une grosse différence, en vrai, j’ai toujours 20 ans.” LAURENT MAISTRET “Ma mère emportée par le Covid, c’était très dur” “J’avais 21 ans quand Moi, à l’époque, j’avais arrêté l’école, j’étais dans le mannequinat et je débutais dans le milieu de la salsa. Je vivais encore chez ma mère, mais je voyageais déjà beaucoup : New York, le Brésil. La nuit, je bossais souvent dans des boîtes. Je me souviens que je dansais pour la marque Havana : capoeira, hip-hop. Une vie d’artiste. J’ai toujours été fondamentalement attaché à ma liberté. J’ai horreur qu’on me donne des ordres. À cette même époque, j’étais aussi médiateur de quartier, c’était cool. Depuis ? Je retiens évidemment tous les Koh-Lanta, avec les stars personnellement, le décès de ma mère, emportée par le Covid, qui a été un moment très difficile. Aujourd’hui, J’ai la même folie qu’hier, je vois les mêmes potes que quand j’avais 15 ans, je vis toujours au Kremlin-Bicêtre, ville où j’ai grandi. J’ai encore les mêmes passions, la musique, la danse, les voyages, le sport, les jeux vidéos. Bref, si l’on excepte le fait que je suis papa, et c’est une grosse différence, en vrai, j’ai toujours 20 ans.
LOLA MAROIS
“Je voulais être une star”
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“Il y a vingt ans, je fêtais mes 20 ans à Paris, entourée de ma famille et de mes amis, je ne vivais que pour les amours contrariés et pour devenir une star de cinéma ! Je rentrais au Cours Florent et commençais à faire mes premiers pas à la télé et au théâtre. À l’époque je voulais être connue et jouer la comédie. On va dire que j’ai plutôt pas mal réussi, sans parler de ces autres grands moments : mon mariage à 27 ans avec l’humoriste que vous connaissez tous, la naissance de mes jumeaux pour mes 30 ans, la sortie de mes deux livres, puis le rôle d’Ariane dans Plus belle la vie, l’année de mes 35 ans : un vrai tournant dans ma carrière. Aujourd’hui, J’estime avoir toujours 20 ans dans ma rage de réussir et de me dépasser dans tout ce que j’entreprends, dans mon envie de faire la fête et de m’amuser mais aussi dans mes goûts musicaux. D’ailleurs ça m’inquiète un peu parfois !”
Par la rédaction
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