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"Il faisait pitié”, “une maigreur épouvantable” : un célèbre présentateur raconte les dernières heures terrifiantes de Jacques Martin en “fauteuil roulant”
Le journaliste et présentateur Pierre Bonte a récemment accordé un entretien à Jordan de Luxe dans lequel il revient sur les derniers instants de Jacques Martin. Des derniers instants chaotiques selon ses dires…
Figure emblématique de la télévision française, Jacques Martin nous quittait le 14 septembre 2007. En 1998, le célèbre animateur était victime d’un accident vasculaire cérébral qui le rendait à moitié paralysé et dont il s’est jamais réellement remis. Au fil des années, il « attendait la mort » comme le confiait son ami Pierre Bonte dans un entretien accordé à 7sur7. « J’ai rarement vu autant de tristesse dans le regard de quelqu’un que dans celui de Martin quand je suis allé le voir en août », confiait-il encore ému par ces terribles images avant de préciser : « il était humilié : physiquement, il était diminué et souffrait de se montrer comme ça. Il ne voulait plus voir personne. Quand je suis allé le voir la dernière fois, je ne l’avais pas prévenu. Il a beaucoup souffert : quand je l’ai vu, il attendait la mort… »
Le journaliste et animateur confirmait en partie ses propos lors de son passage chez Jordan de Luxe, et en profitait pour faire de nouvelles révélations. Pierre Bonte a pu voir Jacques Martin, « un mois avant sa mort »… et préférera sans doute oublier ces douloureux souvenirs pour ne garder que les meilleurs, plusieurs années avant de le voir aussi affaibli.
Jacques Martin dans un état épouvantable
En effet, d’après lui, celui qui aurait été « tué » par Cecilia Attias, « ne voulait plus voir personne ! ». « Il s’était réfugié à l’hôtel du Palais ! Danielle Evenoux m’avait dit : ‘il ne veut plus me voir, il ne veut plus me parler !’ J’ai pris l’avion je suis arrivé dans le hall de l’hôtel, il était en chimio, et il est arrivé en fauteuil roulant », a-t-il poursuivi. Lorsque Pierre Bonte a pu partager un repas avec son ami, ce dernier n’aurait pas « dit un mot du repas ».
« Il était épuisé », se rappelle-t-il avant de remercier le ciel qu’aucune photo de lui n’ait été prise à l’époque où il attendait la mort. Car « il était d’une maigreur épouvantable et d’une faiblesse pitoyable ». Pierre Bonte va encore plus loin et lâche que Jacques Martin « faisait pitié »…
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R.F
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