Gilles Verdez condamné : pourquoi la production de TPMP a payé son amende

Gilles Verdez est revenu sur l’affaire judiciaire l’opposant au journaliste Bernard de la Villardière. Le chroniqueur de Cyril Hanouna a expliqué dans Touche pas à mon poste, sur C8, comment le roi du Paf l’a aidé à se défendre avec la boîte de production H2O face à la justice.

Attaqué par Bernard de la Villardière, Gilles Verdez contre-attaque ! Le chroniqueur de Cyril Hanouna est revenu sur l’affaire judiciaire l’opposant au journaliste dans Touche pas à mon poste sur C8, lundi 19 avril. Il a tenu à remercier chaleureusement le roi du Paf de lui avoir offert les services d’un avocat pour se défendre. Pour rappel, Bernard de la Villardière a poursuivi Gilles Verdez en justice pour diffamation. "Il m’a traité d’islamophobe chez Hanouna", confiait le 17 avril le journaliste d’Enquête exclusive sur M6 au journal Le Monde.

Gilles Verdez raconte que les frais de justice s’élevaient à 5000 euros. "Je m’apprêtais à faire un chèque – et je tiens à vous rendre hommage. Il faut que les téléspectateurs le sachent, quand vous et Lionel Stan (ndlr : directeur de H2O) m’ont dit : ‘Tu as été condamné en toi nom propre, mais c’était pendant l’émission. Donc tu ne paies rien. C’est nous qui payons.’ Vous aviez mis un très bon avocat à ma disposition alors je voulais vous remercier. Ça m’a touché !"

Le compagnon de Fatou a dénoncé la manoeuvre de Bernard de la Villardière. "Il a attaqué que moi, a raconté Gilles Verdez. Il avait un dossier très épais et il a gagné sur islamophobie, mais a perdu sur tout le reste. Donc j’ai été condamné pour diffamation."

"Je viens de faire condamner Gilles Verdez pour diffamation"

Au cours d’une émission de TPMP, Gilles Verdez avait tenu des propos au sujet Bernard de la Villardière et de son émission Enquête Exclusive. "Tiens, je vous donne un scoop : je viens de faire condamner Gilles Verdez pour diffamation. Il m’a traité d’islamophobe chez Hanouna", a-t-il ainsi révélé, déplorant que le chroniqueur saisisse toutes les occasions pour "se payer Enquête exclusive".

"Il m’accuse de ne pas faire mon travail de journaliste", a-t-il précisé, martelant par ailleurs ne "pas du tout [être] islamophobe". " Au contraire, je pense être un des rares journalistes qui sont allés le plus au chevet des victimes musulmanes des guerres civiles, des trafics", a ainsi ajouté Bernard de la Vallardière.

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