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Gabriel Attal : il a “élevé” chez lui des “animaux” très surprenants
Dans un portrait de Gabriel Attal proposé ce 17 septembre, Le Journal du dimanche a dévoilé l’une des passions du ministre de l’Éducation. Et une chose est certaine, elle est tout sauf traditionnelle.
Un passe-temps des plus étonnants ! On peut être le plus jeune homme politique à intégrer un gouvernement sous la Ve République, à 29 ans, et avoir des hobbies surprenants. C’est le cas du ministre de l’Éducation, Gabriel Attal. Celui à qui l’on prête des ambitions présidentielles fait la une de l’actualité en cette rentrée scolaire, notamment depuis son annonce de l’interdiction de l’abaya à l’école. L’occasion pour Le Journal du dimanche de brosser son portrait ce 17 septembre.
À 34 ans, Gabriel Attal a un parcours politique déjà long malgré son jeune âge. Le protégé de Marisol Touraine a rejoint le Parti socialiste à 17 ans et est entré à l’Assemblée nationale comme stagiaire de l’ancienne ministre de la Santé à 18 ans. S’il a pris le train de la Macronie en cours de route, Gabriel Attal y a rapidement fait son trou, jusqu’à obtenir ce poste de ministre de l’Éducation qu’il occupe depuis le 20 juillet. Dans ce portrait, l’un des passe-temps du ministre est dévoilé : sa passion pour les méduses. Le conseiller municipal de Vanves aime tellement les contempler qu’il en aurait « élevé » chez lui dans un grand aquarium. Ainsi, à toute heure du jour ou de la nuit, il pouvait penser à autre chose en admirant ces animaux gélatineux à « la structure beaucoup plus complexe qu’il n’y paraît ». Ou peut-être pensait-il à de futures élections…
⋙ PHOTOS – Gabriel Attal : les membres de sa galaxie en images
Gabriel Attal : des ambitions présidentielles ?
Les ambitions présidentielles de Gabriel Attal ne seraient pas un secret. Mais celui qui tutoierait le président de la République, Emmanuel Macron, qu’il aurait au téléphone quasiment tous les jours – toujours d’après Le JDD –, aurait une priorité avant la présidentielle : décrocher la mairie de Paris en 2026. Il y travaillerait avec une équipe restreinte, celle qui le suit depuis son premier poste ministériel. S’il parvenait à devenir maire de la capitale, « l’un des postes les plus prestigieux de la République », Gabriel Attal poserait ses pions en vue de son ambition ultime, celle de devenir un jour président de la République. En attendant, il apprend du chef de l’État. « Gabriel est en train de se glisser dans le rôle de la doublure parfaite de son boss », a expliqué à l’hebdomadaire un témoin de la relation entre Emmanuel Macron et le compagnon de Stéphane Séjourné. Et s’il a besoin de prendre un peu de recul, il peut toujours aller admirer des méduses.
Article écrit avec la collaboration de 6Medias
Crédits photos : Jonathan Rebboah / Panoramic / Bestimage
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PHOTOS – Gabriel Attal, Olivier Dussopt… Ces politiques ont parlé de leur homosexualité
Une prise de parole saluée par certains, mais jugée suspecte par d’autres. En cause : le timing interprété comme une diversion. « Si cet entretien avait été réalisé à un autre moment, je vous aurais fait les mêmes réponses », jure celui qui a défendu le mariage pour tous et se montre favorable à la GPA. Il dit aussi être resté discret pour « préserver (son) conjoint« .
C’est dans « Têtu », en pleine tempête provoquée par la réforme des retraites, qu’Olivier Dussopt a fait son coming-out médiatique. « Je peux vous assurer que dans les insultes que je reçois depuis quelques semaines, nombreuses sont les remarques homophobes« , déplore l’ex-membre du PS.
Gabriel Attal a d’abord vu Juan Branco, son ex-camarade de classe, outer sa relation avec Stéphane Séjourné, avant d’en parler publiquement. « Pour ce qui est de l’homosexualité, j’ai toujours considéré qu’on pouvait l’assumer sans la revendiquer », explique-t-il à Closer en 2018.
Des années plus tôt, c’est Bertrand Delanoë qui a marqué les esprits. Alors qu’il vise la mairie de Paris, le socialiste ose révéler son homosexualité dans l’émission Zone interdite, en novembre 1998.
Un « devoir de solidarité envers les homos« , estime-t-il, un an avant que le Pacs ne soit voté. « J’aimerais que le citoyen s’en foute« , conclut alors celui qui devient le premier homme politique d’envergure à en parler publiquement.
C’est dans « La Mauvaise Vie », un roman autobiographique qui a beaucoup fait parler en 2009, que Frédéric Mitterrand fait son coming-out.
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