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Florent Pagny très cash : Pourquoi Nikos Aliagas a-t-il failli tout abandonner à cause de lui ?
Ami de longue date avec Florent Pagny, Nikos Aliagas n’a pas vraiment été ménagé par ce dernier lors de ses débuts. Interviewé par Télé 7 Jours, le présentateur se souvient de ses paroles difficiles.
Connu pour son franc-parler, l’interprète de « Ma liberté de penser » a toujours eu l’habitude de s’exprimer ouvertement, et sans mâcher ses mots. Une façon de faire à laquelle Nikos Aliagas a eu du mal à faire face lors de sa première collaboration avec l’artiste.
C’est en 2001 que leur collaboration débute lorsque Nikos Aliagas arrive aux commandes de la Star Academy. À la télévision depuis 1993, la carrière de Nikos Aliagas prend un tout autre tournant avec cette émission, « Étienne Mougeotte, dirigeant de TF1, me contacte pour me proposer l’émission. J’accepte par instinct.« , un instinct qui fonctionne lorsque l’animateur retrace le chemin parcouru jusqu’à ce jour. Une nouvelle aventure pour Nikos Aliagas qui débute assez mal, « La première est chaotique » confie-t-il à nos confrères de Télé 7 Jours. Et pour ne rien arranger, Florent Pagny, le parrain de la première saison, se montre très cash avec lui.
Paroles blessantes
S’il n’est pas du genre à garder pour lui ce qu’il pense tout bas, Florent Pagny n’a vraiment pas ménagé le présentateur à l’époque, prêt à tout abandonner après ces paroles « ‘Ce n’est plus ce que c’était, la télé, je ne comprends rien à ton truc. T’es pas au point’, il me glisse à l’oreille ». Finalement, Nikos Aliagas « reste jusqu’au bout et je suis fier de l’avoir fait », aujourd’hui, le présentateur est heureux de dire que « Vingt après, je suis toujours ami avec Florent Pagny ».
Mais cet élan pour affronter Florent Pagny, le présentateur de TF1 ne se le doit pas à lui seul. Dans les colonnes de Télé 7 Jours ce 26 avril, ce dernier fait un clin d’œil à sa mère, pour avoir finalement fait basculer son avenir, « Je rentre, un soir, dormir chez mes parents. Je veux tout arrêter. Au matin, ma mère me chahute : il est 6 heures, tu te lèves. Ton grand-père est rentré du front à pied, lui. C’est dur ? Tu n’avais qu’à pas y aller. Mais maintenant, tu y es, alors tu finis la danse ».
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La rédaction
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