Faustine Bollaert : visage complètement tatoué, les téléspectateurs de "Ça commence aujourd’hui" découvrent une passion dévorante !

Ce mercredi 3 mai 2023 pour rebondir quant au sujet du jour, Faustine Bollaert a accueilli Laurence dont le visage est recouvert par des tatouages. Au fil des années, cette dernière a su forger son identité et s’approprier son image faisait fi des critiques… Au grand dam de sa maman !

Au quotidien, les téléspectateurs de France 2 prennent plaisir à retrouver Faustine Bollaert sur le plateau de « Ça commence aujourd’hui ». Ce mercredi 3 mai 2023, l’épouse de Maxime Chattam a piloté une nouvelle édition qui a suscité les passions sur la Toile. Cette fois-ci, l’animatrice a souhaité mettre à l’honneur de nouveaux invités qui assument au quotidien un look « atypique » aux yeux de la société.

A l’instar d’Alizée, une pétillante influenceuse qui affiche fièrement sa différence. Sa force de caractère inspire d’ailleurs énormément ses followers sur les réseaux : « J’ai rasé mes sourcils et j’ai rasé ma tête. Le fait d’avoir des sourcils vides, c’est comme une Toile vierge. On peut faire ce que l’on veut ». Pendant l’émission, Faustine Bollaert a également rebondi sur le témoignage de Laurence dont le visage est recouvert de tatouages. Un choix murement réfléchi !

« Avant, je ne voulais pas spécialement y toucher », a affirmé cette dernière en précisant qu’elle avait voulu acter une « fracture sociale » pour s’émanciper. « On ne peut pas être tout le temps comme les gens souhaitent qu’on soit. J’ai besoin d’être moi et je ne veux pas jouer sur les apparences, je ne veux pas tromper les gens donc soit on m’accepte, soit on ne m’accepte pas […] ».

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« Le tatouage n’est pas masculin ni féminin… »

Une transformation physique difficile à accepter pour sa maman. « Mon père ne rentre jamais dans rien. Il accepte beaucoup de choses par contre ma mère, ça a été extrêmement compliqué », a indiqué Laurence qui s’est aussi illustrée en salon. Et de souligner avec philosophie : « Je pense que quand on est l’enfant, le parent voit toujours l’enfant tel qu’il est. L’image qu’on a fait de notre enfant. Quand on regarde son enfant on se voit au travers. J’ai dû briser certainement cette image là […] ».

Dès qu’elle sort, la principale intéressée ne laisse personne indifférent. Mais généralement, les passants se montrent bienveillants à son égard : « J’ai notamment une anecdote sur une dame qui devait avoir 82 ans à l’époque […]. J’avais encore mon magasin en centre-ville (ndlr de tatouages) qui m’avait arrêtée en me disant qu’elle me trouvait absolument magnifique ». A son époque, son interlocutrice aurait aimé faire comme elle « pour embêter le système ».

« Ce body positif, c’est à nous, on est des femmes et on a des droits aussi et le tatouage comme le muscle nous appartient aussi. Comme plein de choses, on n’a pas de différence », a assuré Laurence pour défendre son point de vue avant de conclure : « Le tatouage n’est pas masculin ni féminin, il est à tout le monde ». C’est dit !

N.B

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