Exaspéré par une fête clandestine près de chez lui, Nicolas Sarkozy sort les grands moyens

Dans la nuit de mardi à mercredi 14 avril, Nicolas Sarkozy a été rudement importuné par ses voisins qui organisaient une fête clandestine. Selon Le Parisien, l’ancien chef de l’Etat ne s’est pas fait prier pour intervenir.

Si Nicolas Sarkozy s’est installé dans le très cossu 16e arrondissement de Paris, c’est probablement pour ses rues calmes et tranquilles, loin de l’agitation du centre de la capitale. Mais dans la nuit de mardi à mercredi 14 avril, l’ancien président de la République a dû faire face à un boucan d’enfer. En cause ? Ses voisins qui organisaient une petite fête clandestine. Des festivités bruyantes qui avaient lieu non loin des pénates de l’ancien chef de l’État à l’occasion d’une fin de tournage. Le logement est en effet régulièrement loué par des intermittents du spectacle. « Cette fois, une équipe y produisait une émission pour une chaîne de la télévision câblée française, qui s’y installe régulièrement. », relatent nos confrères du Parisien. Vers 23 heures, l’ambiance n’est pas encore à la fête, mais déjà trop bruyante au goût des habitants de ce quartier huppé, habitués aux nuits paisibles.

Nicolas Sarkozy s’empresse de contacter la police

La police est appelée et une fois sur place elle découvre l’auteur du coup de téléphone qui n’est autre que leur ancien patron, Nicolas Sarkozy, qui occupait la fonction de ministre de l’Intérieur avant d’être élu président de la République. Nicolas Sarkozy leur signifie alors « la récurrence des nuisances sonores« , lui qui se trouverait être le voisin le plus proche du lieu où les intermittents enregistrent. Il les avertit même qu’il leur aurait demandé à plusieurs reprises de mettre fin aux nuisances sonores, en vain.

« Une personne a été verbalisée pour tapage nocturne« , dévoile une source policière. « Puis Nicolas Sarkozy a remercié chacun des fonctionnaires, avant de les féliciter pour cette intervention en appuyant sur l’importance de la renouveler le plus souvent possible.« , précise le Parisien.

Et pourtant la fête n’est pas encore finie

Après avoir fait de la prévention, les forces de l’ordre ont tout de même été recontactées vers 2 h 30 du matin puisque les intermittents étaient en train à ce moment-là de festoyer. Les mis en cause n’auraient, en outre, pas respecté les mesures sanitaires en vigueur, notamment concernant le port du masque. Les agents les ont invités à quitter les lieux. Dix-sept contraventions pour non-port du masque et non-respect du couvre-feu auraient été dressées.

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