Estelle Denis : Une dangereuse addiction !

L’animatrice a révélé être dépendante d’une “drogue” qui fait actuellement des ravages.

Il n’y a pas que les drogues dures ou même douces qui sont capables de rendre dépendant. L’alcool peut aussi, tout comme l’héroïne et la cocaïne, créer le manque, comme en témoignent tous les anciens alcooliques qui racontent avoir eu besoin d’un verre dès le réveil pour ne pas trembler.

Pour Estelle Denis, l’accoutumance s’est fait sentir peu à peu pour devenir aujourd’hui une terrible addiction dont elle a du mal à se passer surtout en cette période de Coupe du monde qui met cette amoureuse du ballon rond dans un état d’exaltation permanent.

Ainsi, depuis le 20 novembre dernier, jour où la compétition a débuté au Qatar, l’ancienne compagne de Raymond Domenech a les yeux rivés sur tous les matchs, et tout particulièrement ceux de l’équipe de France que son ex a entraînée durant plusieurs années.

Certes, même si le football et la consommation excessive de boissons fortes vont souvent de pair, ce n’est pas dans l’enfer de l’alcool que la pauvre Estelle s’est laissé entraîner. Un autre produit, tout aussi dangereux, malgré l’encadrement légal dont il fait l’objet, effectue actuellement des ravages. L’addiction dont la journaliste avoue souffrir est en effet celle des paris sportifs.

Invitée ce 30 novembre de l’émission Quotidien sur TMC, l’animatrice de 45 ans a révélé à demi-mot y consacrer des sommes conséquentes : « Oui, je suis en perte », a-t-elle lâché expliquant ensuite qu’elle avait misé sur une victoire de la France face à la Tunisie. Ce match finalement concédé par les Bleus lui a fait perdre son enjeu.

Compulsive

« Je [ne] mets [que] des 10 balles, mais c’est embêtant aussi. Que ce soit 1 euro ou 10 euros, ça me crispe », a-t-elle avoué.

Le pire, c’est que cette joueuse compulsive n’a en plus, comme elle l’a admis à Yann Barthès, aucunement envie de raccrocher. Une attitude de déni bien connue des addictologues qui risque d’entraîner la maman de Merlin et de Victoire dans une spirale infernale sans fin…

Valérie EDMOND

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