"Escroquer un orphelinat, c’est difficile de faire pire", une des plus célèbres influenceuses françaises accusée du pire, Booba l’affiche direct !

Après Dylan Thiry, c’est au tour de Poupette Kenza d’être la cible de Booba. Sur les réseaux sociaux, le Duc de Boulogne est bien décidé à anéantir l’influenceuse qui aurait escroqué un orphelinat marocain.

La croisade de Booba contre les influenceurs se poursuit. Après Magali Berdah, Maeva Ghennam ou encore Dylan Thiry, c’est au tour de Poupette Kenza de subir le courroux du Duc de Boulogne. Ce lundi 26 juin 2023, le rappeur s’est emparé de ses réseaux sociaux afin de dénoncer les agissements de la jeune femme qui, selon les informations du Parisien relayées par Paris Normandie, aurait « participé au détournement d’une cagnotte pour un orphelinat » marocain. L’association Atlas Kinder aurait récemment annoncé, dans un communiqué, vouloir porter plainte contre Kenza Benchrif et sa cousine Soukaïna El Mizeb. Les deux jeunes femmes seraient accusées de ne pas avoir « versé l’intégralité du montant d’une collecte réalisée à leur intention ».

Nos confrères rapportent que l’association dénonce également « une campagne de cyber-harcèlement » menée par les influenceuses. Des faits extrêmement graves que l’artiste n’a pas hésité à afficher sur son compte Twitter. « Escroquer un orphelinat c’est difficile de faire pire. Quelle bande de démons ! », écrivait-il tout en partageant l’article de Paris Normandie. Une publication qui a suscité de vives réactions. « Prison ferme pour tous ces influenceurs et leurs complices », « Quelle honte », « La décadence », « Je ne suis pas du tout étonné », « C’est satan cette fille », « Il est temps que les autorités se mettent sur ses côtes », pouvait-on lire dans les commentaires.

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Poupette Kenza s’explique

De leur côté, les principales concernées nient les faits. « On n’a pas peur du tout, on est des victimes dans cette histoire, on n’a pas pris un euro, on n’est pas des voleuses », a notamment confié Soukaïna El Mizeb. Contactée par Le Parisien, Poupette Kenza, quant à elle, se dit très « remontée. Je me fais hagar (sic), salir, humiliée (sic), pour des cliques (sic), je ne peux pas l’accepter ». Selon elle, le virement aurait bel et bien été effectué, mais la banque l’aurait bloqué. Affaire à suivre…

V.B

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