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Enora Malagré : son avis tranché sur l’évolution de Touche pas à mon poste
Trois ans après avoir quitté Cyril Hanouna et la bande de Touche pas à mon poste, Enora Malgré reste associée au talk-show de C8. Et l’ancienne chroniqueuse ne garde pas pour elle ses réserves quant à l’évolution du programme de divertissement.
Enora Malagré
Deux camps d’affrontent lorsqu’on prononce les lettres TPMP : les nostalgiques de la première heure, du temps où Touche pas à mon poste débriefait l’actualité des médias, et les « fanzouzes » prêts à accepter toutes les dérives du talk-show phare de C8. Enora Malagré a choisi son équipe, elle qui a fait les beaux jours de ce divertissement né sur France 4 avec les chroniqueurs historiques qu’étaient Jean-Luc Lemoine, Jean-Michel Maire, Bertrand Chameroy ou encore Thierry Moreau. C’est d’ailleurs sur la chaîne Twitch de ce dernier que l’une des grandes gueules du PAF a donné son avis sur la nouvelle ligne éditoriale choisie par Cyril Hanouna et ses équipes. Trois ans après son départ, celle qui n’a pas apprécié le livre célébrant les 10 ans de l’émission a confié ne plus du tout regarder ses anciens camarades de jeu. Mais elle a avancé de bonnes raisons pour expliquer sa défection.
La forme sans le fond ?
Alors qu’elle fourmille de projets pour la rentrée prochaine, notamment au théâtre, Enora Malagré avoue avoir déserté son poste de télévision. « C’est un horaire maintenant qui ne correspond plus tellement à un horaire où je me pose devant la télévision. Je ne regarde plus trop la télévision de manière générale, » a-t-elle reconnu, regrettant également l’évolution qu’a pris le divertissement. « Mais c’est vrai que ces derniers temps, le peu où j’avais regardé, je n’accrochais pas, c’est trop éloigné de ce qu’on faisait, trop à la recherche du buzz », déplore-t-elle, rejetant la faute sur les sujets abordés et non pas les chroniqueurs. « La gaudriole ça va, mais les gens ont besoin d’un peu plus de fond ». Et d’ajouter dans un registre qui a longtemps été sa marque de fabrique : « Il y en a (des chroniqueurs, ndlr), il faudrait qu’ils apprennent à ouvrir au moins un Bescherelle. »
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