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Elise Lucet, "ingérable" ? La journaliste réagit aux critiques sans langue de bois
Invitée dans On refait la télé sur RTL le samedi 15 mai 2021, Élise Lucet a répondu aux rumeurs sur son éviction de France 2. L’occasion pour la journaliste de réagir à d’autres bruits de couloirs, notamment sur son tempérament dit « de feu ».
- Élise Lucet
Connue pour sa pugnacité, Élise Lucet est une journaliste redoutée. Une réputation qui la suit depuis de nombreuses années, et qui ne reflète pas toujours la réalité, à en croire ses confidences dans le studio de RTL. Samedi 15 mai 2021, la présentatrice de Cash Investigation était reçue dans On refait la télé. Interrogée par Éric Dussart sur son « tempérament dont on dit qu’il est de feu », la figure du paysage médiatique français – qui refuse de présenter de nouveaux JT – s’est exprimée sans détour. « Je pense qu’on en fait beaucoup là-dessus. Je suis obstinée comme n’importe quel bon journaliste doit l’être et pas plus que ça », a-t-elle réagi, un sourire en coin.
Alors, est-elle réellement « ingérable » comme l’assurent certains de ses détracteurs ? « Ça, c’est la légende. On construit une légende. J’ai du caractère, oui, ça c’est vrai. Et si j’étais un homme, je crois que ce serait une très grande qualité, non ? », s’est-elle défendue, pointant du doigt le sexisme ordinaire. Lors de cette interview, Élise Lucet a également répondu aux rumeurs sur son éviction de France 2, annoncée par une brève du Canard Enchaîné au début de l’été 2020. Des bruits de couloirs qui ne semblent pas la perturber plus que ça.
« Je n’aime pas la parano »
« Il y a énormément de choses qui sont dites sur moi, sur le côté ‘elle dérange, et donc si on donne la tête d’Élise Lucet, on sauve son poste.’ Moi, je n’ai jamais senti ça. Moi, j’ai eu le soutien de Delphine Ernotte et de Stéphane Sitbon, qui est le numéro deux de France Télévisions. Et de manière très claire », a assuré Élise Lucet. Et d’ajouter : « Je n’ai jamais senti de menace réelle sur moi. Je n’aime pas la parano. (…) Moi, je fais le job avec mes équipes. On essaie de le faire correctement et, en l’occurrence, pour l’instant, on ne m’a pas jamais empêché de faire une enquête et on ne m’a jamais dit : ‘Excuse-nous mais un tel nous a demandé ta tête donc tu vas passer sur le billot. La réalité, ce n’est pas ça. »
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