Drogue, alcool, overdose… : Une star de Notre-Dame de Paris se livre comme jamais sur sa terrible descente aux enfers

Invité de Faustine Bollaert dans "Ça commence aujourd’hui" ce vendredi 3 février 2023, Bruno Pelletier, star de la comédie musicale Notre-Dame de Paris, s’est livré comme jamais auparavant sur ses nombreux excès à ses débuts.

Ce vendredi 3 février 2023, Bruno Pelletier était l’invitée de Faustine Bollaert sur le plateau de son émission Ça commence aujourd’hui. Une occasion pour la star de la comédie musicale Notre-Dame de Paris, d’évoquer ses addictions. « Je me suis mis à faire de la musique dans ma vingtaine… Je gagnais ma vie à faire ça, pas chèrement. À l’époque c’était très hardrock. J’avais surtout la vie d’un jeune qui explore et qui essaye un peu tout. Ça m’a emmené sur certaines voix de contournement de la musique pas toujours super… », a-t-il expliqué non sans une certaine émotion.

Selon lui, la notoriété l’aurait poussé à succomber à plusieurs vices… Notamment la drogue et l’alcool. « Je suis tombé dans les excès, l’alcool, la drogue et tout ça, je suis ressorti de là assez rapidement parce que j’ai eu une très mauvaise expérience, une overdose, je me suis retrouvé à l’hôpital », a précisé le chanteur aujourd’hui âgé de 60 ans. Heureusement, Bruno Pelletier a réussi à s’en sortir. Comment ? Grâce aux arts martiaux. « J’ai réalisé que si je voulais faire ça comme métier, on n’était plus à l’époque de Jim Morrison. Il y a quand même une aura autour de ces artistes, ils sont décédés très jeunes, ça a amené un mythe et on n’était plus là-dedans. Si j’avais envie de faire ce métier-là, il fallait que je sorte de ce rouage malsain. Les arts martiaux m’ont aidé. Je me suis mis à travailler vraiment sérieusement et les choses sont arrivées au début de la trentaine ».

Un succès fulgurant

Si Bruno Pelletier a connu un succès fulgurant grâce à la comédie musicale Notre-Dame de Paris, l’artiste avait également fait partie de la troupe de Starmania au théâtre Mogador, dans le 9ᵉ arrondissement de Paris. Des années après ces deux projets, il garde un beau souvenir. « C’est devenu ce que c’est devenu. Jamais j’aurais pensé que ‘Le temps des cathédrales jouerait à la radio’ […] À partir du Palais des Congrès on sentait qu’on tenait quelque chose d’assez immense », a-t-il ajouté sur France 2.

V.B

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