Donald Trump : espions, filles sexy, rendez-vous romantiques… ce stratagème pour piéger ses ennemis

Comme le révèle le New York Times, ce jeudi 13 mai, une opération d’espionnage a été mise en place lorsque Donald Trump était président, afin de découvrir quels étaient ses collaborateurs qui osaient parler dans son dos.

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  1. Donald Trump

Lorsque Donald Trump était encore au pouvoir, des activistes, mais aussi un ancien espion professionnel britannique, ont élaboré une opération d’espionnage pour découvrir qui étaient les ennemis de l’ancien président américain. Comme le révèle le New York Times, ce jeudi 13 mai, une ancienne candidate de l’émission américaine Survivor, Anna Khait, et d’autres femmes séduisantes ont été approchées pour participer à des rendez-vous arrangés, en compagnie de membres du gouvernement du prédécesseur de Joe Biden. Parmi eux, il y avait H. R. McMaster, l’ex-conseiller à la sécurité nationale des États-Unis.

À la tête du stratagème, mis en place pour mettre la main sur les personnes osant dénigrer Donald Trump, il y avait Erik D. Prince, militaire et frère de Betsy DeVos (ancienne secrétaire à l’Éducation des États-Unis), qui a formé les espions. L’objectif était donc de dénoncer aux alliés de l’ex-président, les membres du gouvernement qui parlaient derrière le dos de ce dernier. Richard Seddon, un agent du service de renseignement MI6, a d’ailleurs été sélectionné pour diriger l’opération. Tarah Price, une jeune journaliste originaire du Texas, s’est vu offrir la jolie somme de 10 000 dollars pour se rapprocher de H. R. McMaster, en étant dotée d’une caméra cachée. Anna Khait, une joueuse de poker de profession, qui a participé à l’émission Survivor, a, elle aussi, tenté d’en savoir plus sur ce que pensaient les proches de Donald Trump à son sujet.

Une opération « qui n’est pas illégale » ?

Sur son compte Twitter et à la suite de la publication de l’article du NYT, elle s’est défendue en soulignant qu’il « n’est pas illégal d’enquêter sur les personnes qui sont censées être transparentes pour le peuple américain ». Les femmes engagées pour l’opération avaient toutes des noms de code, à l’instar de « Brazil » ou « Tiger » et elles résidaient alors dans un manoir situé à Washington DC, un lieu tenu secret et permettant de se trouver au plus près des anciens politiques.

Article écrit avec la collaboration de 6Medias

Crédits photos : Backgrid USA / Bestimage

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