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Disparition d’Émile : cette piste “tirée par les cheveux” qu’il ne faut pas exclure…
Cela fera bientôt trois semaines que les recherches stagnent en ce qui concerne la disparition d’Emile, âgé de deux ans et demi, dans les Alpes-de-Haute-Provence. « Var Matin » a interrogé ce 27 juillet, un magistrat à la retraite afin qu’il donne sa version de l’affaire.
Toutes les hypothèses sont évoquées, même les plus farfelues. L’incompréhension est telle dans le village du Haut-Vernet (Alpes-de-Haute-Provence), que les raisons qui ont pu mener à la disparition du petit Émile ne cessent de surgir de l’imagination des uns et des autres. Aucune trace du petit garçon disparu depuis le 8 juillet 2023 : pas un vêtement, pas un filet de sang. Ce 27 juillet 2023, Var Matin a interrogé Jacques Dallest, 67 ans, magistrat honoraire à la retraite : « Il y a une troisième possibilité, même si elle me parait en l’espèce un peu tirée par les cheveux, c’est que l’enfant ait été victime des agissements de sa famille ».
Que veut-il dire par là ? Jacques Dallest se base probablement sur ce qui a été rapporté par rapport à la façon de vivre de la famille du petit Émile : une famille nombreuse, assez stricte dans laquelle la religion tient une grande place. Il pense à une éventuelle punition qui aurait mal tourné : « Imaginez que le petit qui était seul en dehors de chez lui ait été rattrapé par un adulte et que ce dernier lui ait filé une correction et que ça se soit mal terminé. Et qu’ensuite, on se soit débarrassé du corps« . Une hypothèse parmi d’autres qui n’augure rien de bon.
Les enquêteurs cherchent le corps d’Émile
Depuis plusieurs jours on parle bien de « corps ». Désormais, la recherche d’un cadavre est le tour nouveau dans lequel s’engage l’enquête. Après les bridages d’investigation cynophiles, puis l’intervention des chiens de race Saint-Hubert, la gendarmerie fait désormais appel à des chiens spécialisés dans la recherche de sang ou de cadavres, selon les informations de nos confrères de BFMTV. « Ce sont des chiens qui ne travaillent pas dans les premiers jours d’une disparition, lorsqu’on espère retrouver une personne disparue vivante. Dans un premier temps, ce sont les Groupes d’investigation cynophile (GIC) puis les chiens Saint-Hubert qui sont engagés », détaille une source interrogée par BFMTV. « Dans un troisième temps, ce sont donc ces chiens-là, formés pour retrouver des restes humains, qui sont utilisés. » Preuve que les enquêteurs n’espèrent plus retrouver le garçonnet de deux ans et demi vivant.
Crédits photos : Capture Facebook
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Émile S.
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