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Disparition de Delphine Jubillar : le résultat des nouvelles fouilles enfin dévoilé
Les gendarmes en charge de l’enquête sur la disparition de Delphine Jubillar ont procédé à des fouilles à Cagnac-les-Mines, dans le Tarn, du mardi 4 au jeudi 6 mai 2021. Le résultat de ces recherches a été dévoilé par Le Parisien jeudi 6 mai 2021.
- Delphine Jubillar
Les gendarmes enquêteurs de la section de recherches de Toulouse et de la brigade d’Albi ont cherché une trace de Delphine Jubillar lors d’une fouille qui a duré trois jours, du mardi 4 au jeudi 6 mai 2021. En vain. Comme le dévoile Le Parisien jeudi 6 mai 2021, aucun indice n’a été retrouvé dans le périmètre fouillé par les enquêteurs (entre le cimetière de Cagnac-les-Mines et le parc photovoltaïque). Les gendarmes ont passé au peigne fin cette zone boisée située à 1 km du domicile des Jubillar, mais sans résultat, malgré la présence sur place de chiens pisteurs entraînés à rechercher des corps humains. Les enquêteurs croyaient pourtant tenir une piste. Ils avaient en effet décidé de relancer les fouilles après avoir reçu un renseignement anonyme jugé crédible.
Les frères et sœurs de Delphine Jubillar (qui attendent toujours leur convocation dans le cadre de leur constitution de partie civile) ainsi que son mari Cédric gardent tout de même l’espoir de la retrouver. Ses plus proches amies organisent d’ailleurs tous les jeudis des recherches dans les alentours de Cagnac-Les-Mines. Hélène, Emy, Amélie, Séverine, Lauraine et Valérie souhaitent réunir un maximum de personnes dimanche 16 mai 2021, pour les cinq mois de sa disparition.
Des rumeurs ont vu le jour
Depuis la disparition de Delphine Jubillar, qui n’est plus réapparue depuis mardi 15 décembre 2020, les indices sont minces et personne n’a encore été mis en examen. Une situation peu commune dans ce genre d’affaires qui a fait naître des rumeurs… Selon les informations de France Bleu du mardi 4 mai 2021, certains acteurs du dossier étaient persuadés qu’il était vide et que les gendarmes étaient désormais beaucoup moins nombreux à travailler sur le sujet. La gendarmerie avait réagi : « La cellule est toujours en place avec toujours le même nombre d’effectifs », avait-elle assuré avant d’ajouter qu’il n’y avait « pas de baisse d’activité » ni de « baisse d’effectifs » : « les gendarmes continuent de travailler d’arrache-pied ».
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