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Diana Jones (L’île de la tentation) : son salaire dans Les Anges, ses finances, ses investissements fructueux, elle dit tout !
Il y a 19 ans déjà, Diana Jones s’est fait connaître du grand public dans L’île de la tentation. Des années plus tard, l’ex-candidate de téléréalité se porte bien et n’a pas besoin de courir après les émissions ou les placements de produits. Elle avait tout prévu comme elle l’a confié à Voici.fr.
Diana Jones
En 2002, Dianes Jones participait à L’île de la tentation avec son ex-compagnon Brandon. Un véritable bouleversement pour celle qui était strip-teaseuse avant de passionner les téléspectateurs avec ses aventures dans l’émission de TF1. Du jour au lendemain, Diana a donc connu le succès, mais surtout une vie plus confortable financièrement. « Quand j’ai fait L’île de la tentation, on avait gagné 1500 euros, ce n’est rien pour 10 jours de tournage. Ce n’est même pas le prix d’une figuration à la journée. On était payés, nourris, logés. A l’époque, j’étais comédienne, je m’en foutais un peu. Je me suis rendue compte qu’on s’était fait un peu entubés, mais après on se vend autrement. J’avais monté un ’08’, je me suis gavée ! Ça rapportait autant que les influenceurs. Aujourd’hui, ça n’existe plus, les modes ont changé et je ne suis pas trop réseaux sociaux« , a-t-elle confié à Voici.fr, tout en révélant avoir touché 10 000 euros pour sa participation aux Anges. « Il faut compter en moyenne 500 euros par jour« , a-t-elle précisé.
Désormais loin des caméras, l’ancienne candidate de téléréalité espère bien revenir sur le petit écran, même si elle ne vit pas que pour ça. Loin de là. Si Diana Jones arrive à s’éloigner des projecteurs, c’est qu’elle n’est pas « du genre à côtoyer les gens du showbiz« . Une simplicité qu’elle doit à sa conviction que « rien n’est acquis dans la vie« et que l’argent peut disparaître du jour au lendemain. « Je vois toutes les stars de téléréalité qui font beaucoup d’argent, c’est très bien et j’en ai fait autant à l’époque, a-t-elle expliqué. Je gagnais énormément d’argent mais je n’allais pas acheter des choses ultra chères et je n’allais pas changer mon mode de vie du jour au lendemain en me disant : ’Ça y est, je suis quelqu’un et je vis comme une reine’. Je me suis dit que ça pouvait s’arrêter du jour au lendemain. Quand on commence à avoir une vie hors norme, à prendre des crédits, des voitures, des maisons, c’est bien mais le jour où ça ne paie plus, on fait comment ? On se retrouve dans la merde ! C’est arrivé à beaucoup de stars que ce soit Ophélie Winter, Benjamin Castaldi, beaucoup de gens« .
« Il ne faut pas tout déballer »
Et pour consolider son avenir, Diana Jones n’a pas seulement compté sur ses cachets de la téléréalité et les activités qui en découlaient. Elle a continué à travailler normalement. « Je pouvais faire une couverture à 40 000 euros, faire une dédicace à 10 000 euros et aller travailler chez un patron pour 2000 ou 3000 euros par mois, a-t-elle assuré. Chez le banquier, pour prendre un crédit pour un bien immobilier, si vous donnez un coup un chèque à 100 000 euros puis un autre à 2000 euros, ça ne passe pas. Il me fallait un CDI donc j’allais travailler dans les restaurants, les magasins. Les gens qui m’embauchaient ne comprenaient pas ! Mais j’avais mon objectif : investir ! J’ai eu des réflexions de la part de personnes qui me disaient : ’Ah vous êtes devenue serveuse, vous avez raté votre vie !’ Je vis pour moi et ma retraite ! Et je ne gagne plus les sommes que je gagnais il y a 10-20 ans, ce qui est normal !«
Aujourd’hui, Diana Jones est cependant tranquille financièrement puisqu’elle ne vit que de ses biens immobiliers dans lesquels elle a investi. « Je n’ai plus besoin de travailler, c’est ce qui m’a sauvée. Si j’avais acheté des chaussures à 1000 balles et des sacs à 500 000 euros, aujourd’hui, j’aurais été obligée de les revendre. Après c’est un choix, je ne critique pas la façon de vivre des gens. Mais ils montrent leur argent et leur train de vie, c’est bien mais si c’est pour que dans 10 ans, ils viennent dire à la télé ’Je n’ai plus d’argent, je suis en galère ou je suis SDF’, ce n’est pas le but. On en a vu ! Il ne faut pas tout déballer« , a-t-elle déploré en faisant référence aux candidats de téléréalité de la nouvelle génération et aux anciennes gloires du showbiz.
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