Christophe Dechavanne : victime d'attouchements à l'école !

Durant sa scolarité en primaire, l’animateur a subi les avances d’un responsable “un peu bizarre”. Un trauma encore vivace…

Avec ses presque 40 ans de carrière à la télévision, il est la figure emblématique du petit écran de la fi n des années 1980 jusqu’à 2000 sur TF1, avec des émissions devenues cultes comme Ciel mon mardi ! ou Coucou c’est nous ! Après une traversée du désert médiatique, Christophe Dechavanne a finalement rejoint, en septembre dernier, Léa Salamé dans son talk-show du samedi soir sur France 2, Quelle époque ! en tant qu’invité permanent.

Un retour en pleine lumière pour celui qui, derrière sa société Coyote, continuait à produire des programmes et des spectacles à succès comme Âge tendre, la tournée des idoles. Et cette carrière, l’homme de 65 ans la doit juste à son ambition, lui qui était prédestiné, comme son père, à être agent immobilier ! Côté vie privée, cet invité régulier des Grosses Têtes de RTL est toujours resté discret sur ses amours, même s’il parle souvent tendrement de ses trois rejetons : Pauline, née en 1987, Paul-Henri, né en 1990, et Ninon, née en 1998… trois enfants pour trois mamans. Mais aujourd’hui, l’animateur, d’ordinaire si secret, vient de livrer pour la première fois des révélations très intimes !

“Fessée trop bizarre”

Dans un entretien accordé au magazine Society, le 13 avril dernier, Christophe Dechavanne avoue avoir été victime d’un pédophile ! À l’époque inscrit dans « une école primaire catholique », il avait un « CPE [conseiller principal d’éducation, ndlr] un peu bizarre » : « Un jour, avec trois camarades, on a foutu une chambre à sac : la flotte, les oreillers, la totale. Là-dessus, il est arrivé, il a vu le merdier, il nous a convoqués un par un. Le premier, en revenant, nous a dit : “Il m’a donné une fessée trop bizarre.” C’est à mon tour d’y aller, je suis en pyjama, je m’allonge sur ses genoux et il me donne une fessée trop bizarre, en effet. Une espèce de caresse un peu appuyée. Quand je suis revenu, le troisième chiait dans son froc… »

Et d’ajouter au sujet de cet homme, qui n’avait pas été viré mais juste muté : « Chaque 31 décembre, pendant dix ans, il a continué à m’envoyer des cartes pour dire qu’il pensait beaucoup à moi… » Un témoignage qui fait froid dans le dos.

Margaux VABOIS

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