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Charlotte Casiraghi « vulnérable, blessable » : l’autre visage de la fille de Caroline de Monaco
Fille de bonne famille, cultivée et passionnée, Charlotte Casiraghi a souvent donné l’image d’une jeune femme forte. Mais à en croire un portrait de Libération qui lui a été consacré ce mardi 6 avril, la fille de Caroline de Monaco a aussi un côté plus « vulnérable » comme l’a raconté l’une de ses vieilles connaissances à nos confrères.
A propos de
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Charlotte Casiraghi
Charlotte Casiraghi intrigue autant qu’elle fascine. Fille de Caroline de Monaco, la jeune femme, qui est aujourd’hui maman à son tour, a un parcours remarquable. Si beaucoup la connaissent pour ses collaborations avec divers créateurs de mode, la petite-fille de Grace Kelly excelle aussi dans d’autres domaines, tels que la philosophie. En 2015 par exemple, elle cofonde Les rencontres philosophiques de Monaco, avec les philosophes Robert Maggiori, Joseph Cohen et Raphaêl Zagury-Orly. Le premier, qu’elle a eu pour professeur en terminale, la connaît bien. Dans les colonnes de Libération, ce mardi 6 avril, il évoque d’ailleurs le côté plus sensible, plus méconnu, de Charlotte Casiraghi : « Élève, elle était brillante mais très timide et pleine de la peur de rater. Aujourd’hui, elle m’impressionne, parce qu’elle est ultra-cultivée, avec une soif de savoir constante, mais elle a aussi une grande compréhension des situations comme des gens, forte d’outils qui relèvent de la psychanalyse. » À côté, elle peut aussi se montrer « vulnérable » comme il l’explique : « Une vulnérabilité demeure, elle est facilement blessable.«
Comme l’a rappelé le quotidien dans le portrait qui est consacré à l’ex de Gad Elmaleh, cette sensiblité est aussi liée, entre autres, aux drames qu’elle a vécus et aux épreuves qu’elle a surmontées. En premier lieu, la mort tragique de son père, Stefano Casiraghi, lorsqu’elle avait quatre ans. « Mon expérience personnelle a été faite d’événements tristes, comme la mort précoce de mon père, mais ce sont des choses qui arrivent à tout un chacun, peu importe d’où il vient », analysait Charlotte Casiraghi, dans les colonnes de L’Observateur de Monaco, en 2017.
« La solitude, je l’ai ressentie assez tôt »
Le statut dont bénéficie sa famille ne l’a pas protégée de ce drame. Pour rappel, après la disparition de son père, Charlotte Casiraghi est partie, avec sa mère et ses frères, se réfugier à Saint-Rémy-de-Provence pour faire son deuil. Une période durant laquelle elle s’est sentie très seule : « La solitude, je l’ai ressentie assez tôt, adolescente, et c’est ce qui m’a poussée vers l’introspection, d’autant que j’avais un tempérament qui m’incitait à l’analyse », a-t-elle reconnu auprès de nos confrères monégasques il y a quelques années. La jeune femme a finalement pu avancer grâce, en partie, à la philosophie : « La compagnie des philosophes m’a donné l’impression que je n’étais pas seule. »
Crédits photos : SGP / BESTIMAGE
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