Charles III à Paris : pourquoi Emmanuel Macron craint le pire

Mardi 21 mars, le Parisien a dévoilé de nouvelles informations concernant l’imminente visite du roi Charles III en France. Un déplacement très attendu au sein de l’Hexagone mais qui s’accompagne de beaucoup d’inquiétudes. Notamment de la part d’Emmanuel Macron.

Du 26 au 29 mars prochain, le roi Charles III sera de passage dans l’Hexagone. Une première pour l’actuel souverain anglais puisqu’il sera présent sur le sol français pour la toute première fois en tant que roi. Durant son passage en France, le père des princes William et Harry revisitera les villes de Paris et de Bordeaux. Un périple qui, comme l’a rapporté le Parisien, mardi 21 mars, inquiète grandement le président de la République, Emmanuel Macron.

Comme l’a dévoilé le journal régional, dès le début de semaine prochaine « le souverain britannique descendra lundi matin les Champs-Élysées entouré de la Garde républicaine« . Pourtant, compte tenu des actuelles manifestations et du paysage peu glorieux que montre la Capitale ces derniers jours, Emmanuel Macron est craintif quant à cette visite. « Il ne faudrait pas que ça dure, a soufflé un membre de l’exécutif. J’imagine déjà les gros titres des tabloïds anglais si cette actualité venait à perturber la venue du roi… » Un scénario catastrophe également évoqué par un autre allié du président à nos confrères. « Il est dans une situation de politique intérieure très compliquée. Ce n’est pas la meilleure façon pour préparer la venue d’un monarque aussi prestigieux« , peut-on découvrir.

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Une visite encore maintenue

Lundi 20 mars, le site anglo saxon Daily Online a dévoilé d’amples informations sur cette visite tant attendue. D’après leurs dires, l’actualité française « pourrait avoir une incidence sur la logistique » quant à la venue du roi Charles III et de la reine consort, Camilla. Si cette visite est encore prévue, nos confrères ont rappelé que « les assistants royaux prendraient conseil auprès du ministère britannique des Affaires étrangères et des autorités françaises« .

À cela, le média britannique a également indiqué que le palais de Buckingham s’inquiète que la demeure présidentielle pourrait – potentiellement – représenter « un pôle d’attraction à haut risque pour les manifestants déterminés à humilier publiquement le président Macron« . Autant d’éléments qui risquent d’entacher cette visite

Crédits photos : Stephane Lemouton / Bestimage

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PHOTOS – Comme Emmanuel Macron et Fabrice Eboué, ces politiques et personnalités se sont connus à l’école

Tout les oppose aujourd’hui ! Et pourtant, s’ils n’ont pas suivi la même trajectoire, Emmanuel Macron et Fabrice Eboué sont passés par le même établissement à Amiens. Nés en 1977, ils ont fréquenté le lycée La Providence.

L’anecdote est devenue un sujet de blague récurrent pour l’humoriste. « Il avait un an d’avance et j’avais un an de retard, c’est pour ça qu’il y en a un qui a fini président et l’autre comique« , s’amusait-il dans On est en direct en 2021. L’ex-membre du Jamel Comedy Club, resté seulement cinq mois dans cet établissement catholique privé, recroisera Emmanuel Macron lors d’une réception à l’Elysée. L’occasion de comprendre que le chef de l’Etat n’a aucun souvenir de lui. « Il m’a dit : ‘Rappelez-moi votre nom, déjà ? » Et après, le plus amusant, c’est que je lui dis : ‘Vous savez qu’on a été dans la même école ?’ Il me dit : ‘Ah bon ?’« 

Fabrice Eboué n’est pas la seule personnalité croisée par Emmanuel Macron durant sa scolarité. A Sciences Po, il a notamment eu Ali Baddou comme professeur.

« C’était un très bon élève, s’est rappelé Ali Baddou auprès du Figaro début 2023. Je lui avais mis un 16/20 en dissertation. À l’époque, il se demandait s’il allait choisir l’agrégation de philo ou aller à l’ENA« .

Comme Emmanuel Macron, François Hollande a croisé des futures stars du rire à l’école. Ex-élève du lycée Pasteur à Neuilly-sur-Seine, François Hollande a connu Christian Clavier, Thierry Lhermitte et Gérard Jugnot. « S’il avait été un peu plus âgé, il aurait pu faire partie du Splendid. Il aurait peut-être été plus heureux ?« , s’interrogeait ce dernier dans Le Monde, en 2016.

Sauf qu’à l’époque, François Hollande est plus intéressé par sa mission de délégué de classe que par amuser la galerie. « Ce n’était pas moi [qui faisais rire]. En terminale j’étais en classe avec Clavier, c’était lui qui faisait rire« , s’était souvenu l’ex-président sur France Inter. Ils consolideront leur amitié à Sciences Po, avant que le comédien, trop peu porté sur les cours, ne quitte l’établissement.

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